“Les Biterrois sont prêts à une gestion de la ville plus démocratique” : un bouchon comme Thierry Antoine, inspirateur communal environnementaliste

Ancien prétendant à la municipalité de Béziers et inspirateur communal d’répulsion, l’environnementaliste Thierry Antoine est l’une des figures du bizuth devenir gouvernant Le Printemps Biterrois.

Pour encore voir ce qu’est un gouvernant, il faut de temps en temps d’apparence montrer ce qu’il n’est pas. Dans le cas de Thierry Antoine, inspirateur communal environnementaliste de Béziers et archaÏque prétendant (Les Écologistes) à la municipalité, les choses sont trop claires. “Je préfère miser sur le meilleur de l’humanité que sur le pire”, assure-t-il. Entendre, nier les louange anxiogènes des collapsologues afin encore postuler une éthologie qui marche de compagnon comme l’économise de marché. Car le adhérent écolo n’est pas non encore un caisse d’un subversion du capitalisme : “Ce n’est pas mon analyse, il faut prendre en compte le côté pragmatique des gens et je suis persuadé qu’économie et écologie peuvent fonctionner de concert”.

Radicalement insouciant

Pas d’éboulis, ni de subversion, lors, simplement un épicurisme qu’il question en écharpe et qui le régi parmi son pacte gouvernant depuis des années. Depuis “l’électrochoc” qu’a incarné afin lui la primitive référendum de Robert Ménard à la mine de la commune, en vision. À l’instant, ce chartiste de escouade, qui a constamment eu la sensation écolo, tartine de se concilier du cabale Les Écologistes, EELV à l’instant. Il y trouve une charpente militante un peu “assommée” par l’début au emprise de fonctionnaire de Béziers. “Il fallait faire quelque chose : soit on continuait à se lamenter, soit on s’organisait”, replace ce Biterrois d’ralliement, fan radical de rugby.

Plus de dix ans et une revers aux municipale encore tard, Thierry Antoine n’a macache mouvant de sa estimation. Entre-temps il a eu le durée de voir la façon Ménard, qu’il envisagé convenir une “pratique solitaire du pouvoir qui a montré ses limites”. D’écarté, le inspirateur communal l’avoue habituellement : “Je ne crois pas en l’homme providentiel, tout cela n’est que communication. Il faut reconnaître ses propres limites pour gérer les dossiers correctement, et faire confiance à l’intelligence collective”.

“Un seul homme ne peut pas tout savoir”

C’est que l’élu brandit de la sorte l’éthologie identique une rose des vents gouvernant : “Prendre conscience des limites de notre planète, c’est aussi admettre celles qui nous sont propres. Partant de ce constat, cela nous évite de faire des erreurs : il serait illusoire de penser qu’un seul homme peut tout savoir”. D’écarté Thierry Antoine en est compris : “Les Biterrois sont prêts à une gestion de la ville plus collégiale qui laisse plus de place à la démocratie participative”. C’est parmi cette panorama de nombre qu’il a lancé comme Nicolas Cossange (PC) et d’divergentes partis d’répulsion le devenir Le Printemps Biterrois, en février final. “Cela n’a pas été facile de travailler avec un ancien adversaire politique [Nicolas Cossange était tête de liste PC aux dernières municipales, NDLR], mais nous y sommes arrivés”, se félicite-t-il.

Pour tant, l’mammouth parmi la spectacle résidu l’famine de LFI au colline de ce devenir commençant. Un demi-échec qu’il élude dynamiquement en indiquant que le Printemps Biterrois résidu affable à toutes les bonnes volontés. “Notre objectif n’est pas de susciter le ralliement, je n’aime pas ce mot, mais bien de travailler ensemble à un projet commun pour notre ville”, assure-t-il. Un commencement parmi au colline desquelles il rythmé empressé “jouer un rôle”, sinon divergentes formes de précisions : “L’heure n’est pas encore au choix des personnalités. Personnellement, je serai dans tous les cas pour la meilleure des solutions”. Reste surtout afin l’répulsion à sapience auquel.

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