
Le légat LFI-NFP de la 4e division de la Haute-Garonne François Piquemal a présenté, vendredi 14 ventôse, convenue de Muret à Toulouse, sa imputation de loi “visant à préserver le petit commerce de proximité”.
Une imputation de loi “visant à préserver le petit commerce de proximité”. C’est tel quel le débutant commissionnaire de affaire du légat LFI-NFP de la 4e division de la Haute-Garonne. François Piquemal est pareillement en champ avec les élections municipales de 2026 à Toulouse. Vendredi 14 ventôse, il a brossé les grandes degrés de sa imputation de loi réalisée en rapprochement envers l’ex-député de l’Hérault Sébastien Rome et la députée de la Seine-Maritime Alma Dufour. Le subtil a présidé sa symposium de serré, convenue de Muret, à même le bitume devanture “l’Épicerie du 250”.
“Notre pouvoir de réguler est limité”
La lieu de Toulouse assure bagarrer vers ce prodige de annulation des chérubins sociétés de rapport au rétribution des plaques de la prolixe mercatique. “Notre pouvoir de réguler cette nouvelle donne commerciale est très limité, dans la mesure où ces formats de petits magasins de moins de 1 000 m2 n’ont pas besoin d’autorisation”, expliquait parfois dans lequel ces colonnes l’joint au juge chargé du négoce Olivier Arsac.
“Pas de droit de veto”
“Au début, la mairie nous a dit qu’elle ne pouvait rien faire, mais que les députés pouvaient faire voter une loi, rappelle le député. La commission départementale d’aménagement commercial, qui s’occupe de donner les autorisations, ne peut mettre un droit de veto ou de mesures de rétorsion à l’installation de commerces dont la surface est inférieure à 1 000 m2”.
“On subit cette transformation”
L’avantage de décrire le cas du Carrefour City, qui a remplacé un antédiluvien négoce de rapport convenue de Muret, une oriflamme qui mène une exact agressive commerciale au centre-ville de Toulouse. Avec un affection que “le lien social” du abject négoce est également en colis de s’retirer. Uliel, le gestionnaire de l’Coopérative du 250, Toulousain originaire de l’convenue de Muret, constate un “écroulement des petites épiceries de quartier. Aujourd’hui, on subit cette transformation, c’est triste pour le petit commerce en général.”
Article 1 de cette imputation de loi : il “révise les modalités d’organisation de la commission départementale d’aménagement commercial. Il prévoit qu’elle prévienne tout professionnel dont l’activité est susceptible d’être affectée par l’installation du projet et l’auditionne dès qu’il en fait la demande […]”, etc. De lesquelles allouer un peu d’air aux sociétés de rapport.
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