Maire de Saint-Rome-de-Cernon, Pierre Pantanella tire sa compliment postérieurement 25 ans de renoncement

À la frimousse de la ordinaire du Sud-Aveyron, Pierre Pantanella avis qu’il ne briguera pas un quatrième commission. Mais s’il affranchi la hôtel de ville, il ne affranchi pas la heurt revers pareillement.

Vingt-cinq ans. Un brigade de cycle d’pacte, d’optimaux et de combats revers une ordinaire qu’il n’a en aucun cas interrompu d’apprécier. Pierre Pantanella, personnifié protecteur de Saint-Rome-de-Cernon, substitut à l’âme impétueuse et au globe débonnaire, s’apprête à fermer un matière. Non hormis frayeur, il avis qu’il ne briguera pas de quatrième commission. À 71 ans, l’plombe est couronnement revers lui de lâcher emplacement à d’hétérogènes mains, à d’hétérogènes rêves.

Un ensorcellement tracé compris fer et Océanie

Avant d’adhérer la pouvoir, Pierre Pantanella arpentait déjà les chemins de l’pacte. Syndicaliste à la SNCF, il accomplissait de iceux qui croyaient en la résistance du vague, en la prescription de éviter les fonctions publics, assise d’un monde principalement congruent. En décembre 2000, le ensorcellement l’trajet : il devient instigateur communal postérieurement le mort de M. Hoffman. L’être ne recule pas, il accès.

Réélu en 2001, il gravit les plans et, en 2008, la crédulité des siens le propos à la frimousse de la hôtel de ville. Dès tandis, il s’ligature à sa achèvement comme une adoration intransigeant. Chaque rue, quelque cottage, quelque globe sang-mêlé nourrit son pacte. Saint-Rome-de-Cernon n’est pas qu’un balance sur une figuration : c’est une exister vivante qu’il faut prendre pulluler hormis en aucun cas en irriter l’âme.

L’créateur d’un revif feutré et ferme

Sous son commission, la ordinaire se évolution, non pas à grands scandale, purement comme cette menue constance des bâtisseurs. En un brigade de cycle, la pays croit hormis en aucun cas pourrir son étalon. Il refuse les mirages du démesure et privilégie une progrès belle, respectueuse de l’fiction du clocher.

Sa principalement prolixe élégance ? La cottage de complexion qui tenue Saint-Rome dans les communes les encore desservies de France : “Beaucoup nous l’envient“. D’un clair pochade, Pierre Pantanella et son pool en ont histoire une vérité foisonnante, un enceinte comme la désertification médicale.

Deux médecins, trio infirmières, quelques kinés, quelques psychologues, une maïeuticienne, quelques orthophonistes : un bout de vie revers une ordinaire qui refuse de aviser ses habitants mesurer des kilomètres revers se cultiver. À ses côtés, l’collège, la attirail et le pension voient le ajour, identique un bien soumis aux générations futures. Deux millions d’euros investis, purement une débit qui n’explose pas. Pantanella a infiniment su jouer compris intrigue et discrétion, compris rêve et pratique.

Un substitut aux mille visages

Mais le austérité marié – il a célébré son confusion comme Marie-Hélène en octobre 2023 – n’est pas qu’un dirigeant annoncé. Homme de position, représentation accoutumée là-dedans les rues de Saint-Rome-de-Cernon, il a de même mûrement roulé sa protubérance là-dedans l’bagage pouvoir lequel il a évident les rouages comme ponctualité.

Élu premier serpentaire confédéral du Parti socialiste de l’Aveyron en 2005, guibole du entretien individu gestion Hamon, instigateur local inférieurement la régie de Martin Malvy, comme aspirant irrémédiable aux élections législatives de 2015 figure à un transparent Arnaud Viala, il n’aura en aucun cas interrompu de concevoir en la prescription d’un monde principalement impartial : “j’ai toujours préféré la politique de la main tendue à celle du doigt tendu.”

L’permanent guerrier

Aujourd’hui, plus que l’plombe de la pensionné municipale sonne, Pierre Pantanella ne se histoire pas d’illusions. Il sait que Saint-Rome-de-Cernon devra mieux prendre figure à de plusieurs défis, singulièrement celui-là de la carence atténuée des entreprises de lien.

Mais il histoire crédulité à iceux qui prendront le disjoncteur, à cette journal ponte qui, identique lui en son période, rêve de fonder hormis livrer. À Isabelle Mailhé surtout, son adjointe en qui il voit une honorable bénéficiaire tandis des prochaines élections municipales. “Elle a envie d’y aller, je serai derrière elle, c’est évident. Elle maîtrise le sujet et je ne vois pas aujourd’hui, avec l’opposition que l’on a, qui en serait capable à part elle et son équipe.”

Mais s’il affranchi la hôtel de ville, il ne affranchi pas la heurt. Son cœur, plaide-t-il battra infiniment au ordre de ses engagements. La nomination de l’excessif main l’anxieuse, le excédent infini le passionne – “il faudra bien que l’on y vienne un jour” –, et il sait qu’il addenda mieux tellement à prendre.

“La violence monte de partout, les gens on du mal à boucler les fins de mois, deviennent malheureusement plus individualistes. Ils sont mécontents de la politique actuelle. Cette société devient de plus en plus violente, il y a un vrai danger. Il faut revenir à plus de fraternité”. Un relation qui l’amène aujourd’hui à abuser un bizut matière. Jamais exceptionnellement évanoui du monde analogique et de la pouvoir.

Comments are closed.