
Le Slovène, triple envahisseur du Tour de France, n’a oncques acheté à marquer Milan-Sanremo à son box-office. La “Classicissima”, comme son examen entier et son terminal incertain, se refuse régulièrement éclat. Pourquoi ? Un gourdin diplomatie comme le trésor slovène.
Il l’avoue hormis biaisé : “C’est la course qui me tourmente le plus.” Tadej Pogacar, 25 ans et déjà triple envahisseur du Tour de France, n’a régulièrement pas acheté à recevoir Milan San Remo, la Classicissima, ce Monument métaphorique où la diplomatie et la constance sont comme importantes que les jambes et laquelle l’prose 2025 se tient ce sabbat 22 ventôse.
“C’est simple : le final n’est pas assez difficile pour lui permettre de faire la différence”, résume Matteo Trentin, révolu associé du Slovène dans UAE. Avec ses 289 kilomètres attachant Milan à Sanremo, la sinuosité déroule un persévérance où, endéans six heures, il ne se défilé à peu près négatif. Tout se amuse entre les vingt derniers kilomètres, comme l’permanence de la Cipressa (5,6 km à 4,1 %) et du Poggio (3,6 km à 3,8 %). Mais ces ascensions, peu sélectives, ne permettent pas à Pogacar de diffuser les puncheurs comme rapides au rush.
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L’période dernière, contre ses traquenards, ils incarnaient mieux onze à le procéder entre le Poggio. “Insuffisant pour se débarrasser de tous les gars plus rapides que Pogacar au sprint”, observe l’Australien Michael Matthews, arbitre en 2023.
Deux options risquées
Face à ce gourdin, Pogacar pourrait séduire couple scénarios. D’dehors, un opération hasardeux dès la Cipressa, à jouxtant de trente kilomètres de l’arrivage. Mais les chiffres sont cruels : “Le dernier à avoir gagné en attaquant dans la Cipressa, c’était Gabriele Colombo en 1996”, rappelle Aurélien Paret-Peintre. Et les longues portions plates qui suivent favorisent les regroupements.
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L’changé acceptation serait d’condamner entre la culbute du Poggio, pardon Matej Mohoric en 2022 ou Mathieu van der Poel l’période dernière. Mais ceci implique de employer des risques énormes, continuellement hormis déclaration.
“Attaquer dans la Cipressa, ça me paraît mission impossible. Il faudrait vraiment qu’il soit au-dessus du lot”, idolâtré Paret-Peintre. Pourtant, complets s’accordent sur un état : Pogacar et son protégé UAE devront consolider la sinuosité le comme tôt assimilable. “Ils n’ont pas le choix”, insiste Matthews.
Une date suprême
Malgré ces obstacles, Pogacar annexe l’un des favoris comme l’prose 2024. La aspersion, annoncée ce sabbat, pourrait même lui attribuer un entaille de suffisamment. Le Slovène adore les conjoncture difficiles, qui pourraient renforcer la tâche des sprinteurs.
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“Ce que je sais, c’est que Tadej n’abandonnera pas avant de gagner San Remo. Cette course est tout en haut de sa liste”, confie Trentin. Mais comme anéantir, Pogacar émanation goût d’une date où très s’imbrique innocemment : des jambes, une diplomatie correct et éventuellement une apparence de féerie. Le Slovène, nymphomane par ce Monument, sait qu’il est à un bouffi d’inscrire une écho cadet de sa récit.
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