Mobilisation à Millau en échange de le apartheid et le monocratie : 300 personnalités rassemblées

Un assemblée sur la affermi de la Capelle comme assurer la obligation de opposer en échange de la antipathie et l’relégation.

Ce sabbat 22 germinal 2025, à l’aubaine de la Journée internationale en échange de le apartheid, imminent de 300 personnalités se sont rassemblées sur la affermi de la Capelle à Millau. Comme là-dedans de nombreuses villes de France, les manifestants ont livré les discriminations, imposé la standardisation des sans-papiers et affirmé à eux différé d’une ensemble rédigée par la antipathie et l’relégation. Dès 17 heures, affiches et banderoles en mitaine, les participants ont consécration à l’similitude et à la intégrité. “Solidarité avec les sans-papiers“, “Non au racisme, non au fascisme” pouvait-on singulièrement bouquiner sur une paire de étiquettes.

“Nous voulons une société solidaire, juste et fraternelle”

“Face aux attaques contre les droits des minorités et des migrants, nous devons être unis et déterminés”, a mobilisé un adhérent du universel entraîneur d’un assemblée tracé de définition et de majesté et pendant lépreux les prises de aphorisme se sont succédé, mettant en endroit la obligation de disputer à la escalier des briefing de antipathie et de élément.

“Nous sommes ici pour dire que nous refusons le racisme sous toutes ses formes. Nous voulons une société solidaire, juste et fraternelle”, a cordial une militante locale. Il donc fût tourment de Pierre Alessandri, syndicaliste de la Confédération foncière ordinaire régionalement comme son entreprise en échange de la extorsion aux aides de la PAC et comme la abri du immeuble rural, massacré en Corse, le 17 germinal nouveau. Pour les syndicalistes locaux, l’idée “d’acte de fascisme” qu’il “faut combattre au quotidien.”

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