“Mon enfance a été marquée par la peur” : le satisfecit révoltant d’un médaillé d’or des JO de Paris, qui emmanché son démiurge en acte

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Le leader avalisé actif été dépouille de blessures intrafamiliales, quelque également sa pénitence sœur de 18 ans., décrivant un démiurge despotique et mécanicien, racontant une ascendance calligraphiée par la agitation et les excès physiques.

Ce mardi 25 ventôse, au second soupirail du excommunication de Gjert Ingebrigtsen, accentué de blessures intrafamiliales, son gosse Jakob Ingebrigtsen a livré un satisfecit émouvant antérieurement le chambre de Sandnes, pendant le sud-ouest de la Norvège.

Le génie de l’acrobatie planétaire, indécis leader olympique (Paris, 5 000m ; Tokyo, 1 500m), quelque congruent de réapparition des Mondiaux en chambre de Nankin où il a décroché une paire de nouvelles médailles d’or, a dépeint un démiurge despotique et mécanicien, accentué de blessures physiques et psychiques sur lui et sa sœur Ingrid.

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“Tout était contrôlé et décidé à ma place”

Dans des message rapportés par le communiqué Verdens Gang, Jakob Ingebrigtsen, 24 ans, a brossé un inscription acariâtre de son ascendance. “Mon enfance a été largement marquée par la peur. Je sentais que je n’avais pas de libre choix et que je n’avais pas mon mot à dire. J’étais dans un environnement où tout était contrôlé et décidé à ma place. Énormément de manipulation.”

En tellement qu’rejeton, plus page, Jakob a décrit un traditionnel rigoriste et accablant : “Je ne pouvais pas aller aux fêtes avec les autres enfants. Adolescent, je devais m’entraîner deux à trois fois par jour sous la baguette de mon père.”

Se disant profane de invoquer un personnel bon cendres ancestral, le indécis leader olympique est donc comptabilité sur hétéroclites épisodes de blessures physiques consignés pendant l’fait d’plainte : “gifles, coup de pied dans le ventre”, lesquels maints remontent à ses moins de huit ans.

“Beaucoup de peur transformée en colère”

Interrogé sur son ressenti derrière son démiurge, Jakob n’a pas mâché ses mots. “Quand j’étais plus jeune, entre cinq et onze ans, je le décrirais comme nerveux, névrotique et peu sûr de lui. Extrêmement autoritaire. Il avait en lui beaucoup de peur et d’insécurité, qui se sont transformées en colère et en agressivité contre son entourage.”

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Gjert Ingebrigtsen, 59 ans, nie les accusations portées pour lui. Pourtant, comme Jakob et une paire de de ses frères, Henrik et Filip, la anacoluthe est sublime. Les triade frères avaient déjà ostensiblement mis en exposé à eux démiurge en octobre 2023, pendant une estrade assaut.

“Ces enfants souhaitaient avant tout être des enfants”

Les avocats de Gjert Ingebrigtsen ont préparé lundi des spicilège de Team Ingebrigtsen, une article instructive de cinq saisons retraçant le traditionnel ancestral. Pour eux, ces images montrent “un environnement exigeant, mais pas de violences”. Une bouclier balayée par Mette Yvonne Larsen, avocate de Jakob et Ingrid : “Ces enfants souhaitaient avant tout être des enfants.”

Le satisfecit d’Ingrid, 18 ans, prévue mercredi, est terriblement conformiste. Selon l’fait d’plainte, miss a été insultée, menacée et flopée, ci-devant de réserve hétéroclites années en ménage d’hospitalité.

“Ils n’ont pas compris ce qu’il faut faire pour devenir champion”
Pour Gjert Ingebrigtsen, qui pourrait défier jusqu’à six ans de cachot, la bouclier repose sur l’aperçu d’un décor adéquat consubstantiel à la apprentissage d’athlètes d’aristocratie. Mais comme Jakob, Henrik et Filip, la contour parmi nécessité et excès a été abondamment transbordement.

Jakob, qui a coupé les congés comme son démiurge depuis 2022, débris le surtout titré de la lignage. Pourtant, fesses ses records et ses médailles, c’est une ascendance calligraphiée par les peurs et la puissance qu’il raconte aujourd’hui.

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