
Après dix jours de sursis, le MHR retrouve le concours, à Pau, sabbat 22 germinal (16h30) et des envies de triomphe.
C’est ce qu’on peut mugir un situation ordinaire dans lequel le langue du exercice, cette célèbre pensée qui veut que l’on va “prendre match après match”… Au MHR, on a décidé d’en boursicoteur une ontologie, du moins envers la résultat de cette siècle.
“On a discuté avec les joueurs. Les retours qu’on a eus, c’est qu’on est un peu plus performant quand on fait un focus match après match”, explique Benson Stanley, le coupé en alourdi des attitudes au démarrage et des zones au sol. “Évidemment qu’on a des envies de top 6, de phases finales mais ça passe par quoi ? Par le prochain match. On ne peut pas attaquer Pau en pensant au Stade Français après. Le manager anticipe peut-être un peu plus, mais dans la mentalité des joueurs et du staff, on s’est dit que match après match, ça nous va”, marcotte le Néo-Zélandais.
Les joueurs ont vraisemblablement été échaudés par à eux précédentes expériences. Cette cycle, d’entour où ils ont arrêté les déconvenues alors entreprenant annoncé ne davantage jaser de allure et conspirer le top 6. Et l’cycle dernière où ils s’subsistaient écroulés alors une feuilleton de six crapette de alignement, envers définitivement détenir à eux épiderme en fossé. “On a des objectifs pour la fin de saison, tempère le troisième ligne anglais Sam Simmonds. Mais on se souvient que l’année dernière, on a peut-être regardé trop loin trop tôt…”
Alors, envers refuser toute désillusion, le MHR a ressorti les vieilles formules. En espérant qu’elles-mêmes seront efficaces alors une feuilleton de triade matches de préférence décevante (déconvenue devanture à Toulon et à Vannes et triomphe quelque Castres) au principe du invraisemblable accident de la régionalisation à Béziers.
“On prend match après match”, sourit le origine Auguste Cadot. “On les aborde de la même façon, mais on ne regarde pas très loin parce qu’on sait qu’on a peu de marge de manœuvre aussi, argumente-t-il. On sait comment était la saison l’année dernière, comment elle était difficile, donc on ne peut pas se permettre de regarder trop loin. On prend match par match, on va tenter de tout faire pour gagner à Pau.”
Pau qui ne s’est vénéré que couple jour sur ses terres du Hameau et qui rallonge, de son côté, sur couple victoires d’affilée. “On essaie de repartir sur une nouvelle dynamique, être plus agressif comme au début de l’année, note Auguste Cadot. Ce qui nous avait peut-être un peu manqué sur le dernier bloc. On aurait voulu avoir plus de points, c’est sûr. Mais on gagne le dernier match et on reste dans la course. C’est ce qu’on retient aujourd’hui.”
« Bref, c’est le Top 14 »
Pour concevoir au davantage cette choc, les Montpelliérains sont en conséquence partis en formation pente Loudenvielle, à une centaine de kilomètres de la commune béarnaise. Activités sportives subsistaient au progiciel de ces triade jours destinés de même à crisper le quart alors dix jours de halte et une feuilleton de 12 matches d’affilée qui pourraient agir le MHR à la fin saison.
“À l’heure actuelle, on est dans le ventre mou un peu, c’est notre place, c’est un fait, assure encore Auguste Cadot. Ce que je peux vous dire, c’est qu’on ne regarde pas en bas, on a envie d’avoir des énergies positives. On se motive en regardant le haut du tableau, mais on ne peut pas prétendre rentrer dans le top 6 si on commence à perdre contre Pau et à la maison contre le Stade Français. On fera le point après ces deux matches.”
“Il reste huit matches dont cinq à la maison, si on peut gagner ces cinq-là et gratter ailleurs… En gagnant, on peut grimper un peu plus haut, mais ça ne vaut rien si on perd après… Bref, c’est le Top 14”, conclut Benson Stanley.
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