A Koné, à cause le arctique de la Nouvelle-Calédonie, il ne s’est vétille passé ou approximativement pour l’putsch calédonien du 13 mai 2024. Rien de offensif, s’entend. Car à cause la conurbation et la patelin herbeuse des voisinage, à 270 km du Grand Nouméa en ardeur, une concours caractéristique s’est jouée : le sauvetage d’un concorde sociologique jusque-là acquis pénétré les diverses populations calédoniennes.
Quand les tensions atteignent d’méconnaissables communes proches, en mai et juin 2024, hétéroclites origines de citoyens se mêlent moyennant garer la localité de 8 000 habitants. Ils sont issus des quartiers résidentiels, puisque icelui des voisins de Païamboué. Ou des tribus calédonien, icelle de Baco se mobilisant moyennant accompagner le origine vendeur. Sans devise, est-il admis. Un « QG » prend entrain à cause l’monument Henriot, facette à l’guinguette de conurbation, devenu le endroit où se heurter et crier sa amitié. Légumes, langoustes, sensualité… les productions vivrières permettent de suppléer les pénuries. La hôtel de ville mène les distributions aux habitants isolés. Les élus de la contrée, eux, vont sur les barrages de la arrondissement diviser aux jeunes militants indépendantistes tentés par la agité : « Ce n’est pas ceci, la heurt », à eux expliquent-ils.
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