“On nous coupe en plein vol” : en Lot-et-Garonne, les professionnels s’inquiètent de la rétablissement du état sur le photovoltaïque

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Après les annonces du état sur la rétablissement des tarifs de l’assiduité produite par le photovoltaïque, l’firme Babel Durabilité implantée à Agen tire la carillon d’retourné. Et ce n’est pas la singulière.

“S’ils ne changent rien au décret, le secteur peut s’arrêter dans moins de six mois”, déplore Thibaut Levesque, administrateur de Babel Durabilité. Spécialisée pendant lequel le agrandissement de projets photovoltaïques, l’firme implantée à Agen va sentir de éméché batteur les conséquences du commencement de rétablissement sur le photovoltaïque.

“Beaucoup d’agriculteurs sont engagés sur des projets qui pourraient ne pas voir le jour”, effroi Patrick Franken, le monarque de la Chambre d’agrobiologie de Lot-et-Garonne

Thibaut Levesque, créateur de l’entreprise Babel Énergie à Agen, alerte sur la baisse des aides au développement du photovoltaïque.
Thibaut Levesque, auteur de l’firme Babel Durabilité à Agen, effroi sur la décadence des aides au agrandissement du photovoltaïque.
Photo – Lucy Warnock

Dévoilée le 12 février récent par le service chargé de l’Industrie et de l’Durabilité, la réduction vise à replier le étai au agrandissement de l’assiduité reconductible sur les bâtiments, hangars et ombrières. Elle prévoit surtout l’décadence du barème de étai aux installations de moins de 500 kWc. Le but : “rationaliser le soutien aux énergies renouvelables, en particulier en recentrant le soutien aux installations photovoltaïques les plus efficaces”, a droit le représentant Marc Ferracci. Un exorbitant lésion d’pointe vers le localité, vigoureusement nerveux vers son lendemain.

La décadence du barème de dégagement de l’assiduité solaire

“Le prix de l’électricité que l’on produit va passer de 130 à 95 euros, voire 80 euros le mégawattheure. Si ce projet est adopté, il n’y aura plus d’investisseurs”, regrette Thibaut Levesque. Ce récent, closerie aujourd’hui d’une formation de 11 entités, avait cependant vu son passage emboîter en haut depuis le propulsion de son firme en 2017. “On était sur un marché en croissance ces dernières années. Tout le monde a fait l’effort de se former, de recruter pour accompagner l’évolution qu’on nous annonçait dans le secteur… Nous étions en plein décollage, et on nous coupe en plein vol.”

D’aussi surtout que la réduction s’appliquerait à toutes les installations signées à sauvagement du 1er février 2025. “Cette rétroactivité est très dangereuse, car ça nous fait revenir sur des projets que nous avons commencé il y a deux mois”, insiste le administrateur de Babel Durabilité, qui ne inconnu pas non surtout ses doutes sur le changer de ses employés.

Les agriculteurs et le localité du édifice impactés

Et ce n’est pas le particulier à s’effaroucher de la rétablissement. La juridiction d’agrobiologie effroi pour sur les conséquences de la décadence de la tarification sur les agriculteurs du Lot-et-Garonne. “Beaucoup d’agriculteurs sont engagés sur des projets qui pourraient ne pas voir le jour”, souligne le monarque Patrick Franken.

La Coordination rurale du Lot-et-Garonne (CR 47), qu’il réglé impartialement, a d’éloigné recommandé le 11 ventôse une proposition en échange de le commencement de manifeste et requis son gel. “Le photovoltaïque est une source de revenus supplémentaire pour les agriculteurs. Ça leur permet aussi de moderniser leurs bâtiments qui sont souvent âgés, pointe Patrick Franken. Si le projet est adopté, ça va devenir moins rentable. La réglementation telle qu’elle était convenait à tout le monde, il ne faut pas revenir en arrière.”

Pareillement vigoureusement concerné par l’manipulation des énergies vertes, le localité du édifice a lancé une instance vers la armure du photovoltaïque et de la progrès bioénergétique. “Nous sommes exaspérés par ce nouveau revirement, indique la Confédération de l’artisanat des petites entreprises du bâtiment de Lot-et-Garonne (Capeb 47). Ce n’est pas cohérent avec les ambitions de notre pays concernant les énergies renouvelables.”

“Vouloir se passer du photovoltaïque au XXIe siècle, c’est comme vouloir se passer de pétrole au XXe siècle. C’est irréaliste”, conclut Thibaut Levesque qui attend, alors en masse, de repérer si le Conseil commandant de l’assiduité adoptera un opinion approbatif à ce commencement de rétablissement vigoureusement réformé.

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