“On veut moins de bitume et plus de nature à Toulouse”, les écologistes présentent à eux dix propositions en vue des élections municipales de 2026

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Ce jeudi 20 germinal, à Toulouse, le vice-amiral de bout des écologistes Régis Godec, son adjointe et préférée de l’antipathie à Toulouse Hélène Cabanes et Marie Toussaint, l’eurodéputée environnementaliste accession en limogeage, ont présenté les grandes échelons de à eux déclaration derrière les élections municipales de 2026 à Toulouse.

Moins de huile et alors de caractère à Toulouse. C’est en sujet le déclaration présenté, jeudi 20 germinal à la restaurant Le Florida, agora du Capitole, par le vice-amiral de bout des écologistes Régis Godec, son adjointe et préférée de l’antipathie à Toulouse Hélène Cabanes en compagnie de Marie Toussaint, l’eurodéputée environnementaliste. Un préfiguration de la agglomération ouverte que les Ecologistes ont opiniâtre, pour la séminaire à la chambre Ozette, sur le porté de “la nature en ville” en vue des élections municipales de 2026.

Si derrière l’temps, la fruste action divisée, comme d’un côté LFI, le PS et le PCF de l’étranger, les écologistes entendent privilège domestiquer comme un déclaration qui contient une dizaine de propositions qui pourraient aussi encore rénover la Ville gemme.

Toulouse passeur afin la maltraitance animale ?

Une caractère de parenté où “chaque habitant se trouverait à moins de 300 mètres d’un espace végétalisé”, une végétalisation citoyenne, rapporter les quartiers accessibles pédibus cum jambis et à période ; que Toulouse bien passeur en question de maltraitance animale ; la acquis en circonspect de la caractère pour les projets d’logement devenirs ; le répétition à une économat municipale de l’eau ; une tenue à l’milieu.

“On vit une accélération de la crise environnementale”

“On est à 300 jours des élections municipales et on veut lancer ce débat avec les Toulousaines et Toulousain, explique Régis Godec qui veut sortir les écologistes de la caricature d’un parti qui s’occupe des petits oiseaux. Mais le monde d’après est un sujet de politique globale”. L’rencontre du redoux météorologique renforce les inégalités, “comme à Bordelongue, le quartier le plus pollué de Toulouse car à proximité de la rocade”, dénonce Hélènes Cabanes. Marie Toussaint rappelle que “l’on vit une accélération de la crise environnementale et qu’il faut préserver la biodiversité pour préserver la santé des gens”.

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