
Ce jeudi 20 ventôse, le directeur de Carcassonne Agglo Régis Banquet a associé des vignerons audois, et a décidé d’détacher un caisse de à eux vins à Donald Trump, envers grognonner quant à les fidèles de douane voulus par le directeur étasunien sur les vins importés de France.
“On le fait avec humour et un peu d’ironie, mais il y a un vrai fond dans cette action !” Ce jeudi 20 ventôse, le directeur de Carcassonne Agglo Régis Banquet a décidé d’détacher un caisse au directeur des Comptes-Unis, Donald Trump. Et pas n’importe auquel : “Dans ce colis, on a mis six bouteilles de producteurs locaux, pour montrer la diversité des vins de l’Aude, du Cabardès, de la Malepère, des Coteaux de la Cité, ou encore de la Première Bulle”, détaille Régis Banquet. Et les vins choisis ne l’ont pas été par données, pile des placards aux noms évocateurs : Embuscade, Le Vent tourne, Ni Ange ni Disposition, Cause continuellement ou Merci.
Derrière cette entreprise, les inquiétudes relativement à la arbitre de Donald Trump d’asservir des fidèles de douane de 200 % sur entiers les vins, champagnes et contradictoires alcools hexagonal, lesquels, forcément ceux-là de l’Aude. Une impôt arbitraire envers les importateurs américains, qui conduirait mathématiquement à la discontinuité des transactions pile les vignerons de l’Aude. Henri Cases, du seigneurie Saint-Martin, l’explique pile l’résumé de sa cuvée Merci, qui a été accréditée à Donald Trump : “Aujourd’hui, une bouteille de Merci à New York se vend 50 $. Un verre, c’est 10 $.” Avec une impôt de 200 %, il faudrait tripler les montant, de la sorte obscurément une fiole passerait à 150 $. Difficile à concevoir. Et les partenaires commerciaux américains commencent déjà à arrêter les bizness : “Aujourd’hui, tout est à l’arrêt, alors que le marché est en développement, et qu’il y a matière à faire”, ajoute Henri Cases.
Pour Frédéric Palacios, du Mas de mon démiurge, qui a inclus la cuvée “Cause toujours” pile son ami pamphlétaire Laurent Bazin, la impôt à 200 % est une observable accident commerciale : “Nous exportons 70 % de notre production. Pas qu’aux États-Unis bien sûr, mais quand même”. Pour lui encore, les négociations sont à l’stabilisation : “Je travaillais avec deux importateurs. L’un a totalement arrêté, le deuxième c’est tout comme, même si on espère que ça finira par repartir”, explique-t-il. Pour les jeunes vignerons puisque Baptiste Mathieu du seigneurie Saint-Rome, qui a production L’Embuscade, le égratignure est dur. Installé en 2021, il commençait très congruent à concevoir l’export : “Quelques portes s’étaient ouvertes. Là, elles se sont refermées”, déplore-t-il.
Et Régis Banquet de représenter : “Sur notre territoire, un vigneron engendre trois emplois. Donc quand il arrête son activité faute de pouvoir en vivre, ce sont trois personnes supplémentaires qui se retrouvent en difficulté”. Dans sa caractère à Donald Trump, le directeur de Carcassonne Agglo l’bourgeon de la sorte à idolâtrer les vins audois, et à ne pas condamner les vins hexagonal, ni à eux producteurs, ni les citoyens américains qui en seraient, de incident, privés. La caractère a identiquement été transcrite en britannique, pile l’complémentaire précis d’une aérienne énoncé au-dessous grande personne de clignement d’œil narquois à Donald Trump : “Make wine great again”.
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