Rugby (Fédérale 3) : Figeac s’incline extérieur à Saint-Cernin

Publié le

De à nous simultané Jean-Claude Boyer

l’constituant
Figeac 27 – Saint Cernin 29
MT : 12 – 13. Arbitres : Quentin Chauveau.
Pour Saint-Cernin : 2 E : Pavageau (14e), Mongil T (73e) ; 2 T Mongil G (14e, 78e) ; 5P Mongil G (7e, 12e, 40e, 56e, 72e).
Pour Figeac : 2E : projet de sanction (54e), Lovato (80e) ; 1 T (54e) ; 5 P Sabut (10e, 17e, 20e, 25e) Fernandez (78e).
Evolution du résultat : 0-3, 3-3, 3-6, 3-13, 6-13, 9-13, 12-13 / MT / 12-16, 19-16, 19-19, 22-19, 22-22, 22-29, 27-29.
Groupe Sportif Figeacois : Fauverge, Delbos, Pradayrol-Labarthe, Barras, Delpuech, Laban Bacqué, Loudieres, Legrand, Roualdes, Castagné (cap), Frayssinet, Laubie, Dega, Jonte, Sabut. Remplaçants : Lovato, Jarosz, Verniere, Lenei, Cayrel, Fernandez, Pardina.
Cartons : Rouge : Cayrel (69e) ; Jaunes : Lauby (12e), Verniere (80e).
Racing Club Saint Cernin : Tedo B, Despalles, Cheymol, Ferluc, Lescure, Zaragoza, Lacipiere, Gramont, Mongil T (Cap), Mongil G, Chauvet, Poumeurol, Tedo A, Pavageau, Dayral, Pedrazzini, Semeteys, Capel, Lamouroux, Chauvet, Lacambre, Maze.
Cartons Rouges Lamouroux, (69e) ; Jaune : Semeteys (80e).
Critique : Groupe Sportif Figeacois 34 – 10 Racing Club Saint Cernin.

Après une plaisante tribut au palestre du Moulin à Vent, les Figeacois, défaits sur le piédestal cantalien au challenge aventurer, se devaient avaler à elles consolation sur le Racing Club Saint-Cernin contre le challenge réintégration à Marcel Costes. Il faut déclaration que les « Rouge et Noir » avaient empressé indigence d’une triomphe contre rejoindre le final challenge à Saint-Astier alors un effilé certitude de épithète. Malheureusement, postérieurement renfermer perdant cette duel, en s’pente d’une brève mine, les joueurs de Jérôme Richard et de Fabrice Landes termineront la étape parmi 15 jours à Saint-Astier contre le final challenge des phases régulières.
Face à une groupe visiteuse qui n’avait zéro à dévergonder, hardie qu’elle-même vivait de coopérer aux phases finales, on s’attendait à une duel engagée. Elle le fut. Les coéquipiers de Dorian Castagné démarraient la duel rien incommode, jetant toutes à elles forces parmi la affaire. Les visiteurs ne s’en laissaient pas décrire et jouaient hardiment à elles aubaine, purement démesurément de erreurs et d’imprécisions empêchaient les un duo de équipes de matérialiser, laissant aux buteurs Mongil, contre Saint-Cernin et Sabut contre Figeac, le réflexion de garnir le résultat par des pénalités. Entre successions d’errata techniques et pluriels approximations, Figeac ne parvenait pas à reculer parmi son challenge. Saint-Cernin jouait vraiment, et le challenge vivait trop équilibré. Au formation d’plombe de jeu, sur une intrusion primitive paluche, puis que Frayssinet se dirigeait pour l’en but, l’ailier hôte Pavageau interceptait et, postérieurement une longuette expédition, inscrivait le élémentaire projet rajeuni, total le résultat à 3 à 13. Piqués au vif, les Lotois repartaient à l’querelleuse par de longues courses de Legrand et jouaient finalement parmi l’affirmée. Mais le jeu restait essoufflé et les futurs figeacois légèrement tranchants. Il faut déclaration que les Doriens, à l’sensible de Despalles et Lacipière, s’employaient tout autour d’une armure empressé casée. Seul le peton de Sabut permettait aux « Rouge et Noir » de survivre au allumage, et à la arrêt, les Lotois, interminablement à la attristé, pointaient à 4 points de à elles adversaires sur le résultat de 12 à 13.
De réintégration des vestiaires, Figeac s’en remettait à ses basiques et sollicitait les avants. Sur un montgolfière porté derrière à une pénaltouche, que les Cantalous écroulaient parmi l’en-but, l’ambassadeur sifflait un projet de sanction permettant aux locaux de avaler l’aidé contre la primitive coup de la duel (19 à 16). L’accentuation montait d’un aplomb, les fantômes s’échauffaient, et l’ambassadeur expulsait Cayrel d’un côté et Lamouroux de l’discordant. Seuls les buteurs nourrissaient le résultat par des pénalités (22-16, 58e). Globalement dictateurs, les locaux ne étaient pas résolument de corrigé et ne concrétisaient pas à elles séduction, mauvais, ils laissaient s’esquiver de précieuses opportunités conséquence à de nombreuses approximations, particulièrement sur des pénaltouches favorables. À la 73e seconde, les Doriens refaisaient à elles temporisation conséquence à une histoire sanction (22 à 22) précocement de rejoindre l’aidé sur un record des frères Mongil, Guillaume grandissant au peton contre Thomas contre un projet dans les perches (22 à 29). Les accrochages se multipliaient et la fin de la duel vivait suffocant. Dans les dernières secondes, parmi un recrudescence d’opiniâtreté, le banquise lotois portait Lovato arrière la barrière contre un projet qui n’vivait pas rajeuni, résultat excessif 27 à 29.


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