Les phases finales sont là, le épreuve imprégné Niort et le RC Auch, qui s’est révolu par un incisif disgrâce des Gersois (22-15) comble de fiançailles, a été de cette amplitude qui caractérise les joutes du renouveau.
Débats de malaisé degré à Niort dimanche, dignes de l’entresol directeur, en totalité cas dignes des phases finales. L’ailier du RCA, Siegfried Vandekerkof revenait sur le appartement du épreuve et se projette : “C’était un match avec une grosse intensité. Niort était dans le combat avec son jeu de déplacement et de jeu au pied, auquel nous avons su répondre en défense. Voyager de cette façon et rendre une telle copie, ça fait plaisir et je sens que nous sommes prêts pour cette fin de saison, si nous rendons des copies comme celle-ci.”
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Ce que confirme Jordan Rocca, appui du RCA, 24e sur la cahier de épreuve : “Vu de l’extérieur, c’était un vrai match d’hommes. Nous sommes partis à 6 heures du matin. En rapport à cette difficulté, nous faisons un match de grande intensité. Nous ramenons un point de bonus défensif. Vers la 63e, on s’écroule dans l’en-but et je pense qu’il y a mieux qu’une simple mêlée à 5 m. Nous avons répondu présent, je suis fier de mes coéquipiers et c’est de bon augure pour la suite, qui est là, avec le CAL dès dimanche. Il faut qu’on se prépare bien car ce sera capital.”
“C’était un match de haut niveau”
Le page culot du RCA, Benjamin Verdier se montrait, lui de même, ravi : “Sur le terrain, ça tapait fort, c’était compliqué mais nous avons su montrer un beau visage.” Frédéric Pujo, l’présentateur auscitain concluait : “C’était un match de haut niveau de N2, avec beaucoup d’engagement des deux côtés. Nous sommes forcément déçus du résultat car nous ne sommes pas payés, surtout vers la 63e avec une grosse séquence où nous ne marquons pas et c’est là le tournant du match. Nous sommes fiers du groupe et, avec un tel état d’esprit, on peut espérer de belles choses.” Dès dimanche, il faudra se arrière-goût des belles choses et les construire en aguerri.
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