“Les images parlent d’elles-mêmes”. Jean Philippe Latour, responsable des U18 Nîmes football femelle, se dit dégoûté. Lassé de repérer les stades alloués par la Ville entre un conclusion en conséquence avachi. “J’ai reçu à l’annexe des Costières des clubs comme Narbonne, Albi, Rodez, Montpellier, Blagnac, Colomiers… tous ont été choqués”, souligne-t-il. Et revers légende. Fuites d’eau, céramique qui caveau, fange tapissant le sol… La récapitulation des éléments qui posent embarras est éternelle. “Depuis décembre, la DSP pour le ménage des vestiaires a été transférée pour l’entretien de la nouvelle halle des sports. Donc depuis janvier, plus rien est fait”, reprend l’responsable.
Un conclusion des places que découvre Jean-Marc Campello, député, compris différents, à la édification et à la réforme bioénergétique des bâtiments municipaux. “D’après mes services, l’annexe était fermée donc, forcément, on n’avait pas de directives concernant une quelconque rénovation du bâtiment”, souligne-t-il, très en obligé “un loupé au niveau de la communication entre les différents services”. “Je suis actuellement en discussion avec les services sport. Et s’il n’y a pas d’autres solutions, et que les associations sont obligées d’utiliser l’annexe, alors bien entendu que nous la remettrons en état”, insiste-t-il.
Des sangliers qui endommagent le étape
Mais l’additionnel des Costières n’est pas le isolé étape qui circonspect soucis. Durant la semaine, la Ville a mis à capacité des associations de football, l’champ de courses des Courbiers. Mais des visiteurs non désirés viennent casser les entraînements. “Les terrains sont en mauvais état à cause des sangliers”, explique Jean Philippe Latour, figure à l’participation. Un embarras avoir intime des obligations de la Ville, qui expliquent abstraction, eux en conséquence, éperdument démunis figure à ce châtiment. “On a bien tenté d’enlever les taillis, pour empêcher les sangliers de gîter à cet endroit, mais, si ça a quelque peu diminué leur présence, ça ne suffit pas, on en a bien conscience”, reconnaît Chantal May, déléguée à la végétalisation, au hangar et aux jardins partagés. Sauf que les battues administratives ne sont pas possibles, poursuit-elle, “car il y a trop d’habitations autours”. Quant aux clôtures électrifiées, envisagées un moment par la Ville ? “C’est trop risqué par rapport aux promeneurs”, nuance-t-elle.
Une conjoncture qui semble de la sorte figée, hormis moralité de replis revers l’temps, ce qui exaspère l’responsable des U18 féminines. “À croire que Nîmes ne veut plus du football”, lâche-t-il.
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