Patrick Malavieille, vice-président au Canton du Gard, avait idéogramme à Rachida Dati relativement la révocation du pass Culture. Il avait encore émis des propositions. La consul a répondu.
Le vice-président au conciliabule départemental du Gard Patrick Malavieille a décharge une réplique au carrosse adressé à la consul de la Culture Rachida Dati relativement la révocation du pass Culture. Dans un assistance donné tantôt à Midi Libre, il n’avait pas hésité à attaquer cette tournure gouvernementale : “Ce que fait le gouvernement, c’est une faute grave parce que l’éducation artistique reste la porte d’entrée pour des tas de jeunes, ça suscite des vocations.”
“Je suis consciente des difficultés”
“Vous m’avez fait part de vos préoccupations relatives au gel du budget alloué à la part collective du pass Culture et à son impact sur l’accès des jeunes à la culture. Vous m’adressez, en ce sens, vos propositions relatives à l’éducation artistique et culturelle dans nos territoires, notamment celle d’organiser des Assises nationales de l’EAC”, indique Rachida Dati qui a accueilli observation des éléments de mention de Patrick Malavieille : “Soyez assuré que je suis consciente des difficultés occasionnées par les dispositions récentes de la part collective dans la mise en œuvre des projets culturels engagés par les établissements scolaires.”
Elle a mince à copier à l’élu pièce que “cette part collectif du Pass culture relève des compétences du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.” La consul ficelle la propos directe à l’synchronisation d’un réunion en s’soupesant sur la délégation interministérielle à l’EAC créée par le Président de la État Emmanuel Macron et sur l’Institut territorial directeur de l’élégance esthétique et éducative de Guingamp.
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