“Tous mobilisés contre le racisme et pour l’unité du monde du travail”

l’formant
Dans un avertissement de pastille, la question PCF de Bagnères-de-Bigorre et du Haut Adour mobilise à l’opportunité de la date parce que le xénophobie chahut 22 ventôse.

Dans un avertissement de pastille, la question PCF de Bagnères-de-Bigorre et du Haut Adour mobilise chahut 22 ventôse à l’opportunité de la date parce que le xénophobie.

“Fidèle à notre histoire et nos idées, la section PCF de Bagnères appelle à participer à toutes les initiatives de lutte contre la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme qui auront lieu ces vendredi 21 et samedi 22 mars dans le cadre de l’appel national initié par les associations antiracistes et de défense des droits humains, avec les organisations syndicales, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale.
Dans un contexte de banalisation inquiétante de la parole et des actes racistes, nous continuerons à combattre de toutes nos forces la xénophobie, le racisme, l’antisémitisme et les discriminations qui font partie de ces armes de division massive du capitalisme qui alimentent les fractures et permettent aux idéologies identitaires et à l’extrême droite de progresser partout, avec la complicité du pouvoir en place, jusqu’à remettre en cause les fondements même de la République basés sur l’universalité des droits.
Nous restons également extrêmement vigilants quant à la dérive mortifère de certains responsables de La France Insoumise qui substitue le combat identitaire au combat de classe en mobilisant des ressorts identitaires et communautaires à des fins électoralistes.
Nous reprenons ainsi les mots de notre secrétaire national Fabien Roussel qui déclarait récemment : « Quand tout est fait pour nous diviser en fonction de notre couleur de peau, de notre religion, de notre lieu d’habitation – urbains versus ruraux –, quand certains à gauche ne proposent rien d’autres que le chaos, le travail doit être le socle du rassemblement. »
Parce que nous savons que la dynamique de l’extrême droite et des idéologies identitaires se nourrit de la crise économique et sociale, nous voulons remettre la question du travail au centre de la bataille politique et amplifier notre mobilisation pour une nouvelle industrialisation et pour le développement des services publics.”

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