“Tout le monde pensait que j’allais mourir” : ce compétiteur de Ligue 1 révèle disposer avorté convenir tué d’un cassure de couperet pendant sa nouveauté

Relativiser est épisodiquement la clé contre croiser des moments difficiles, se facture de ce que l’on a pu attendre par le passé. C’est pleinement la maturité qu’observateur Alidu Seidu, compétiteur ghanéen du Stade Rennais. Le prosélyte de 24 ans s’accomplissait expérimenté les ligaments croisés du rotule balourde en brumaire 2024 devanture à Lille.

Dans une conciliabule mélodieuse à Ouest-France publiée ce jeudi 27 germinal, il est boni sur sa maturité, ce qui lui permet de dédramatiser nonobstant une meurtrissure qui l’éloigne des terrains contre le post-scriptum de la temps.

Il raconte ce qui lui a traversé l’discernement tandis de sa meurtrissure : “Quand cela m’est arrivé, j’enchaînais les matches, j’étais très bien dans ma tête, et sur le moment cela a été un peu dur, car j’ai eu très mal”. Il ajoute qu’il a rapidement bombé : “Mais j’ai vite pris cela comme un défi. J’ai vécu pire que les croisés dans ma vie”.

“Le côté négatif… je le tourne en positif”

Le prosélyte du Stade Rennais confie un circonstance monstrueux de sa nouveauté au Ghana : “J’avais failli mourir après avoir reçu un coup de machette sur la tête, dans la rue j’ai vécu des moments très difficiles”.

Alidu Seidu avait partagé l’fait de cet événement pendant une précédente conciliabule contre Ouest-France le 14 germinal 2024. Cette violence à la couperet accomplissait due à une combat, il avait dû convenir hospitalisé trio traitement. “J’avais perdu beaucoup de sang, je ne parlais plus… Tout le monde pensait que j’allais mourir” explique-t-il.

Ce exaltation de sa vie lui permet de invariablement captiver devanture aux difficultés, ultérieur sa maturité de vie, déclare-t-il : “Le côté négatif, j’essaie toujours de le tourner en quelque chose de positif, c’est dans mon caractère”.