
Des militants d’Quart homme ont parti de questionner le tenu des limitrophe de 400 commentaires issus du changer des gilets jaunes, une trot “transpartisane afin de les rendre visibles”.
“L’idée, c’est de se confronter à la réalité des témoignages de ces cahiers.” Ce jeudi marquait le primordial fenêtre d’une œuvre d’aide parmi auxquels se sont lancés les militants d’Quart homme, le vague né du changer des gilets jaunes : questionner les cahiers de doléances qui avaient été mis à aptitude parmi tout municipalité voici six ans, prématurément de gagner les archives départementales, via la district. “Puisque ce mouvement était né quelque part en opposition au gouvernement d’Emmanuel Macron, nous souhaitions partager ce travail avec l’équipe de Benoit Mournet et le parti Renaissance, précise Yves Castera. Après avoir été un peu face à face durant les manifestations, nous souhaitions faire cette analyse transpartisane ensemble, mais ils ne sont pas encore prêts. Ils doivent encore faire leur chemin.”
Ce sont lors les militants d’Quart homme, seuls, qui ont deviné les 24 rudimentaires cahiers lesquels particulièrement iceux de Bagnères, Séméac, Ibos ou Bordères. “Ça représente une centaine de témoignages, c’est un petit échantillon sachant qu’il y a eu près de 400 cahiers de doléances, au moins un dans chaque commune, détaille Victoria Klotz. On a essayé de repérer les occurrences, avec des termes comme retraites, élus, salaire, pouvoir, citoyens, RIC, CSG, ISF, inflation… On a aussi des thèmes qui émergent comme la fiscalité, la citoyenneté et la démocratie, les salaires, la loi, les services publics.”
Il faudra une vingtaine de jours aux militants dans filtrer en récépissé la perfection de ces cahiers, lesquels plusieurs demeurent inaccessibles car ils présentent “des propos diffamatoires ou insultants, précise Yves Castéra qui souligne le très bon accueil réservé par les équipes des archives départementales. C’est un travail de fourmis important, à l’aune des élections. Ça peut nourrir les candidats pour leurs professions de foi. Il y a vraiment du fond, avec des formats différents, des choses très documentées, des lettres au Président, des gens qui racontent leur quotidien. C’est très riche humainement et émouvant. Ce qui est surprenant c’est qu’il n’y a aucun nom de parti qui apparaît. On est dans la vraie vie…”
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