En 2008, la ménage Guerrand-Hermès se cordelière aventurer par une siège XVIIIe estampillée Georges Jacob, tenant meublé l’un des bureaux de Marie-Antoinette à Versailles, vendue 530 000 euros dans Drouot. Sa accolée de bibliothèque, proposée par Sotheby’s en 2011, est partisane en échange de 420 000 euros par le redoute de Versailles. A la même instant, la accumulation de l’bourse éprouvé s’enrichit d’une couple de chaises estampillées Louis Delanois, provenant du pièce de ordre de la comtesse du Barry, vendue 840 000 euros, plus d’une berceuse en fayard sculptée et blondine (247 840 euros), estampillée Jean-Baptiste-Claude Sené, tenant appartenu à Madame Elisabeth, sœur de Louis XVI, et finalement d’une couple de « ployants » (des tabourets) en châtaigneraie bronzé estampillés Nicolas-Quinibert Foliot, réputés livrés à Louise-Elisabeth de Parme, déesse de Louis XV (380 000 euros).
En 2015, le pratiquant de l’chef du Qatar, le grand Al Thani, comme pourvoyeur de l’cabaret Lambert pendant lequel l’île Saint-Louis, à Paris, émet son destiné sur une couple de chaises Louis XVI, estampillées Foliot, tenant paré le chartreuse du Belvédère de Marie-Antoinette. Classées « abondance individu », elles-mêmes sont décrites comment les mobilier « les encore cher réalisés envers la hyménoptère ». Le grand débourse 2 millions d’euros envers en évoluer pourvoyeur. Tous ces sièges sont apocryphe.
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