
Après l’emprisonnement du magistrat d’Istanbul, Ekrem Imamoğlu, la incorporation ne cesse d’étendre en Turquie. Ce sabbat 29 germinal 2025, des centaines de milliers de créatures se sont réunies dans lequel la nation turque.
Plusieurs centaines de milliers de créatures se sont rassemblées sabbat à Istanbul, à l’signal du CHP, le coterie d’antipathie du magistrat d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, dans indiquer l’emprisonnement de l’conseiller municipal, auprès la expiation qui continue de s’détruire sur les protestataires.
La abondance s’est retrouvée à la mi-journée dessous un dais firmament sur la accroché asiate de la commune “pour poursuivre la marche vers le pouvoir”, accompagnant l’signal du dirigeant du Parti démocrate du farci (CHP), Özgür Özel, qui a avancé le quantième de 2,2 millions de manifestants.
C’est un être méticuleux, c’est lui qui sauvera la convoqué turque.
Parmi eux, une héroïne de 82 ans total un madras, une buste d’Imamoglu et le banderole ottoman, confie “ne pas avoir peur : je n’ai qu’une vie, je suis prête à la sacrifier pour ce pays”. Mais sézig refuse de allonger son nom, “au cas où ils viendraient frapper à ma porte”.
The size is always up for debate, but this is a rather déployé apprentissage by the Turkish antipathie in Istanbul against Imamoğlu’s arrest.
— Ragıp Soylu (@ragipsoylu) March 29, 2025
“C’est un homme honnête, c’est lui qui sauvera la république turque”, déclare-t-elle à pic du magistrat, arrêté plus écroué dans “corruption”, que ses subjectifs mettent en hésitation.
L’pose sur l’démesuré chaire de l’femme, de la héroïne et des un duo de célibataire d’Ekrem Imamoglu déclenche une vivat dessous la pêche de drapeaux et de portraits de Mustafa Kemal Atatürk, le dieu de la monde.
“Gouvernement, démission”, “Taksim partout ! Résistance partout !” en signe à l’parabolique occupation d’Istanbul, édition des contestations de Gezi en 2013.
“Nous sommes ici pour notre patrie. C’est nous, le peuple, qui élisons nos gouvernants”, insiste Melis Basak Ergun, 17 ans, en jurant que les manifestants ne se laisseront par hasard importuner “par la violence ou les gaz lacrymogènes”.
C’est leur, les jeunes, que le magistrat a exploité à s’nommer dans lequel un grandiose allocution lu à la forum par le gouvernant de son coterie : “Si les jeunes sont en première ligne, c’est parce qu’ils sont les plus anxieux pour leur avenir. Ceux qui sentent de la façon la plus aigue leur vie leur échapper”. “Il ne s’agit pas ici d’Ekrem Imamoglu mais de notre pays, de la justice, la démocratie, la liberté, le droit, la loi.” “Droit, loi, justice”, scande la abondance en histoire.
#TurkeyWatchud83cuddf9ud83cuddf7: Anti-Erdoğan protests ESCALATE in Turkey.
In Istanbul, hundreds of thousands of protesters sent a allocution:
PRES. ERDOĞAN’S TURKEY = NO OPPOSITION = NO FREEDOM OF THE PRESS = NO PROBLEM.pic.twitter.com/9siNWuV8WC
— Steve Hanke (@steve_hanke) March 29, 2025
L’emprisonnement de M. Imamoglu le 19 germinal a inauguré une douteux de protestations information en avec d’une décennie à défaut la Turquie, mobilisant des dizaines de milliers de manifestants quelque coucher dans lequel les rues, jusqu’à lundi coucher.
Depuis, le coterie a coupé de exhorter la abondance précédemment la hôtel de ville. Mais dans lequel un mise en relation au facile métropolitain Le Monde, daté de sabbat, Özgür Özel, devenu le haut-parleur de l’antipathie, augure la éducation de rassemblements francs-jeux à apparaître, entiers les mercredis à Istanbul, les samedis dans lequel une nation différente.
“Si nous ne repoussons pas cette tentative de coup d’Etat, il en sera fini des urnes”, prévient-il.
Un critérium devanture l’Aïd
“J’ai participé aux rassemblements devant l’hôtel de ville pendant quatre jours avec des étudiants de l’université. Je leur ai dit de ne pas céder”, déclare à l’AFP Cafer Sungur, 78 ans, remarqué sur sa hampe. “J’ai été emprisonné dans les années 1970, mais il y avait une justice alors. Aujourd’hui, on ne peut plus parler de justice”.
Le CHP s’apprêtait à enfermer M. Imamoglu alors son inspirant dans la prochaine présidentielle prévue en 2028 lorsque il a été arrêté et médiateur en caveau cinq jours avec tard.
En ce amorce du grandiose vacance de l’Aïd el Fitr, célébré dimanche dans séparer la fin du abstinence, cet reflux a vaillance de critérium dans l’antipathie.
Si les jeunes et les étudiants notamment ont tenté de adroit la incorporation, la expiation qui continue en compagnie de des arrestations, dans eux à l’lumière, de manifestants, journalistes, avocats pourrait offenser les avec déterminés.
Rien qu’à Istanbul, 511 étudiants avaient déjà été interpellés vendredi, lequel 275 incarcérés, accompagnant l’entremetteur Ferhat Güzel, dans qui “ce nombre est probablement beaucoup plus élevé”.
Arrestations de journalistes
Selon les derniers chiffres officiels, avec de 2 000 créatures ont été arrêtées lequel 260 avaient été incarcérées. Vendredi coucher, le félibre suédois Joakim Medin, interpellé jeudi à sa caution d’appareil, a été placé en enfermement à Istanbul, accompagnant le commentateur en dirigeant de son cote Dagens UTC, Andreas Gustavsson.
Selon les médias turcs le enquêteur est éclairé d’capital “insulté le président” ottoman et d’entité “membre d’une organisation terroriste armée”, ce que M. Gustavsson a positivement irrécupérable.
Disant “redouter un nouvel abus”, l’coordination Reporters Sans Frontières (RSF) a exhorté les autorités turques à remanier le liquette […] et à préserver le félibre si ses valeurs ne sont pas parfaitement respectés”.
Avant lui, un enquêteur de la BBC, Mark Lowen, a été éloigné “pour trouble à l’ordre public”. Au moins douze journalistes turcs ont été arrêtés dans lequel la semaine plus libérés, toutefois restent accusés d’capital participé à des manifestations interdites qu’ils couvraient dans à eux média, lequel un photographe de l’AFP, Yasin Akgül.
Vendredi, l’entremetteur du magistrat d’Istanbul, Mehmet Pehlivan, a été “arrêté pour des motifs inventés de toutes pièces”, accompagnant M. Imamoglu, plus atermoiement en particularisme dans lequel la session.
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