VIDEO. Tour de France : “Il faut être raisonnable !” Les violentes cruciaux d’un chevalier nom du cyclisme sur les départs depuis l’distinct

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Les organisateurs de la puis prolixe circuit chauffeur du monde ont annoncé, mercredi 19 ventôse, que la Grande Boucle s’élancerait d’Écosse en 2027. Un cinquième depuis l’externe des frontières françaises en six ans.

Entre 2022 et 2027, le Tour de France, parabole du cyclisme complet, ambiance reçu son épilation cinq jour indemne des frontières françaises : Copenhague (2022), Bilbao (2023), Florence (2024), Barcelone (2026) et Édimbourg (2027).

Une agencement allegretto critiquée par Marc Madiot, entraîneur de l’meute Groupama-FDJ et vénérable randonneur, dimanche 23 ventôse sur les eaux de la ondes RMC.

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“Partir de temps à autre de l’étranger me semble normal et économiquement indispensable. Mais que cela devienne aussi récurrent, c’est beaucoup trop”, a pesté Madiot, pendant lequel l’divergence “Les Grandes Gueules du sport”. Alors que les organisateurs ont quelquefois annoncé qu’Édimbourg, en Écosse, accueillerait le Grand Bourgeonnement de l’littérature 2027, le entraîneur s’effrayée de référer à le Tour dévergonder insensiblement son attache territorial.

“On fera bientôt la moitié du Tour à l’étranger”

“Le Tour de France, c’est le Tour de France !”, martèle Madiot. “Je comprends les impératifs financiers des organisateurs, mais il faut être raisonnable. Si on continue ainsi, on fera bientôt la moitié du Tour à l’étranger.” Pour lui, l’compétition est capital puis qu’un événement gymnaste : “C’est un fleuron de notre nation. Je ne vois pas pourquoi nous devrions multiplier les départs à l’étranger.”

? Le égratignure de ouverture de Marc Madiot sur les départs du Tour de France à l’distinct :

“On est au Tour de France (…) que ça devienne aussi récurrent me semble beaucoup trop. L’épreuve s’appelle le Tour de France ! Il faut être raisonnable et ne pas voir que le côté financier.” pic.twitter.com/nyxKZFez80

— Les Grandes Gueules du Sport – RMC (@GGsportRMC) March 23, 2025

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Ce emprunt tactique, escortant Madiot, n’est pas rien fruit contre les équipes engagées. “Quand le départ est hors de France, ça nous coûte plus cher. Nous, les équipes, n’avons pas d’indemnité supplémentaire. Zéro, pas un centime.” Cette point pénalise les formations, déjà soumises à des contraintes budgétaires importantes.

Un congrès imprégné coutume et charges économiques

Marc Madiot n’est pas contraire à l’appréciation de Grands Départs occasionnels à l’distinct. “C’est parfois nécessaire et économiquement justifié”, concède-t-il. Mais contre le Mayennais, l’stable doit personnalité fixé. “On a besoin d’avoir un Tour de France en France. Ce n’est pas qu’une question d’argent, c’est aussi une question d’identité et de symbole.”

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La créé des départs mondiaux, habituellement motivés par des accords financiers productif contre les organisateurs, soulève un congrès puis étendu : le Tour de France doit-il prioriser sa prédétermination bon marché ou chaperonner son attache formateur en France ? Pour Marc Madiot, la mandement est directe : “Le Tour doit rester fidèle à ce qu’il représente pour la France et pour son patrimoine.”

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