
Ce mercredi potron-minet, l’séquestration du bourgmestre d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, a incité une liquide de charge en Turquie. Figure majeure de l’antipathie turque, il est inculpé de prévarication et de petit revers une fondation terroriste. Son défaillant dénonce un “coup d’État”.
Le bourgmestre d’Istanbul Ekrem Imamoglu, fondamental antagoniste au responsable ottoman Recep Tayyip Erdogan, a été interpellé ce mercredi 19 ventôse au potron-minet. Avec lui, ont été arrêtés encore d’une centaine de ses collaborateurs, d’élus et abats de son défaillant. Celui-ci dénonce “un coup d’état” afin l’antipathie.
Populaire et charismatique, le bourgmestre qui croule inférieurement les procédures judiciaires à son opposé, est inculpé cette coup de “corruption” et, escortant l’assemblée publique Anadolu, de “banditisme“.
Dans une vidéodisque postée sur X, l’bailli de 53 ans, en caisse de s’costumer et de attacher sa lavallière, dénonce la cherche de son âtre : “Des centaines de policiers sont arrivées à ma porte. La police fait irruption chez moi et frappe à ma porte. Je m’en remets à ma nation”, indique-t-il.
Manifestations interdites
Tous les rassemblements et manifestations ont été illégaux jusqu’à dimanche par le éparque d’Istanbul exclusivement de différents abusifs du bourgmestre, qui avait primitivement organisé de les ameuter mercredi, convergeaient proximité la mairie cernée de barrières, escortant un photographe de l’AFP.
L’spécifique position Taksim, au ardeur d’Istanbul, ardu endroit bienséant des manifestations, a été aussi sûrement fermée et les passants sont réticents à s’décrire ont indéniable les correspondants de l’AFP.
“On est dans une dictature” campé un négociant repéré par son autonome nom de baptême, Kuzey. “Ce gars et sa sale bande nous haïssent. Dès qu’ils ont affaire à quelqu’un de fort ils font quelque chose d’illégal, ils paniquent” crache-t-il à pic du vice-amiral de l’Balance. “Ce sont des diables, mais des amateurs, on va les battre”.
Du “harcèlement” procédurier
“Ce qui s’est passé ce matin n’est rien d’autre qu’un coup d’État contre le principal parti d’opposition, avec des conséquences considérables pour l’avenir politique du pays” a estimé Berk Esen, politiste de l’possibilité Sabanci d’Istanbul, rattaché par l’AFP. “Cette décision pousse la Turquie plus loin sur la voie de l’autocratie, à l’instar du Venezuela, de la Russie et de la Biélorussie”.
Figure du CHP, fondamental défaillant d’antipathie envoyé, Ekrem Imamoglu est moulant par cinq discordantes procédures judiciaires, laquelle double ont été ouvertes en janvier. En 2023, il avait déjà été réuni de facto de se énumérer à la direction, en décharge d’une remontrance en pause afin “insulte” à des responsables du session électoral ottoman.
Opposant fervent au responsable Erdogan, Ekrem Imamoglu a divulgué fin janvier le “harcèlement” de la législation à son opposé.
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