“Vous avez confondu vos administrés avec des zadistes” : ultérieurement l’A69, un discordant brouillon d’installation éclaireur emballe les discussions politiques

l’basique
Les tâches de arrachage du baptême du traitement de ventôse, hors champ de la structure du rondelle n°2 du Boulevard citadin ponant (BUO) ont brûlant la fin des débats du conférence occidental du Grand Montauban (GMCA), jeudi 20 ventôse 2025 au coucher.

Les débats promettaient d’personne tendus. Ils ont été passionnément agités. La pièce du conférence occidental du Grand Montauban (GMCA), en Tarn-et-Garonne, s’est transformée en un vulgaire Sapiac, jeudi 20 ventôse 2025 au coucher. Une catégorie de derby exfiltration pénétré manumission et combat, ultérieurement la lutte avortée en conférence communal dix jours davantage tôt.

Pour l’avantage, les particuliers chaises qui servent de cirque, obstinément dépourvues de auditoire, ont cette jour été prises d’arraisonnage. Même la commissariat municipale a été dépêchée aux environs comme apaiser ce préliminaire fenêtre fermé de l’récit du GMCA… Heureusement, aucune mêlée avant-première ou cohue relevée n’a éclaté tandis des discussions…

“Les travaux ont débuté sans préavis”

Les débats tout autour des tâches de arrachage du rondelle n°2 du Boulevard citadin ponant (BUO) et l’récapitulation des batardeaux anti-débordement du Tarn et du Tescou ont été le apothéose extrême d’une annexion où l’combat a décoché ses exégèse, prématurément que la manumission ne réponde hormis bêler.

Il présentait 20h08 lorsqu’Arnaud Hilion, marchand la mémoire L’Alternative comme Montauban, a accepté la sentence sur le préliminaire brouillon suscité. “La Ville a prouvé qu’elle savait parfaitement communiquer quand elle le voulait. Pourquoi ces compétences n’ont-elles pas été utilisées pour une information complète sur ce projet ? La semaine du 3 mars, des travaux de défrichage ont débuté sans préavis. Depuis, une action en justice est en cours. Si elle aboutit à une décision défavorable pour la collectivité, avez-vous évalué le risque financier que cela ferait peser sur les contribuables ?”, a interrogé le préliminaire écritoire du Parti socialiste tarn-et-garonnais.

“Vous avez confondu vos administrés avec des zadistes féroces à enfermer”

Mme Lagarde a, en intention introductrice, regretté que les tâches furent emmanché “alors qu’une consultation publique environnementale était encore en cours jusqu’au 8 mars, a-t-elle débuté. De nombreux manquements ont été mis en évidence avec plus de 15 infractions relevées. Comment justifier un tel empressement au risque de la sécurité des administrés ?”

Avant d’asservir, de note davantage tapageuse : “Vous avez confondu vos administrés avec des zadistes féroces à enfermer… Les riverains souhaitent faire respecter leur droit et faire respecter leur sécurité et celle de leurs enfants face à des engins qui passent au-dessus de leur tête… Nous avons les images !”

“Des hurluberlus sont venus nous empêcher de travailler”

La présidente du GMCA, Marie-Claude Berly, a d’accueil répondu sur celui-là repère. “Avez-vous les images des gens qui se sont précipités sous les chenilles ? Ils ont pénétré illégalement sur un chantier, ils se sont jetés dessous et nous ont empêchés de travailler !”, a-t-elle haussé le ton, involontairement une organe éraillée.

Celle qui est également prévôt de Montauban a comme répondu sur le fondement, chimère sur l’évolutif du BUO et sur la grossesse de la zombi d’installation contrôlée (ZAC) de Bas-Pays où ont recto les tâches visés. “Nous avons assuré des réunions publiques et respecté la procédure en cours. Nous avons répondu aux demandes formulées par les habitants. Nous avons été autorisés à engager le défrichement et toutes les mesures compensatoires ont été respectées, a martelé Mme Berly. On n’a pas à rougir de ce qu’on a fait et on aurait pu faire mieux si des hurluberlus n’étaient pas venus nous empêcher de travailler la semaine du 3 mars”, a-t-elle entendu, loyalement agacée. Une dernière tirade conclue par les applaudissements de sa manumission.

“Les hurluberlus sont vos administrés !”

“Les hurluberlus que vous nommez sont vos administrés, a rétorqué Sandrine Lagarde, autorisée à s’exprimer malgré la fin de la réponse de Mme Berly. Vous dites que tout a été fait dans les règles mais non, 15 infractions ont été relevées. Tout a été fait dans la précipitation !”

Un place contredit par Mme Berly. “Ce projet est prévu depuis 2004 ! Et il fallait faire ces opérations de défrichement avant le 15 mars !”, a renchéri la présidente. “Mais l’enquête environnementale n’est pas terminée !”, a relancé Mme Lagarde. “Ce n’est pas vrai. Tout a été fait dans les règles. Nous sommes en justice désormais, laissons-la faire et nous verrons bien.”

“Depuis la décision sur l’A 69, on a tous ces désagréments”

Thierry Deville, préliminaire vice-président, a conscient se affaisser l’évaluateur du combat. “Soit on arrive collectivement à construire ce boulevard de contournement avant 2032 et on pourra sauver la ville et l’agglomération, a – t-il dramatisé. Soit on en est incapable et la conséquence sera irrémédiable. La LGV va entraîner le passage d’1,5 millions de voyageurs, 10 fois plus que ce qu’on est en capacité d’accueil.”

Et l’adjuvant aux pécule de la Ville de affaisser le voisin verso le brouillon d’A69, arrêté officiellement. “Depuis que la décision sur l’autoroute Toulouse-Castres est sortie, bizarrement, on a tous ces désagréments. Alors qu’on n’a jamais eu la moindre difficulté”, s’est-il réduit.

“Mais je ne veux pas que s’installe l’idée que nous voulons bloquer !, a nuancé Arnaud Hilion, sous les vivas des supporters de la majorité. Il faut le faire ce projet, mais il faut utiliser au maximum les moyens d’information.” Désormais, la balluchon est pénétré les mains du assemblée officiel, consécution au recours déposé, qui sera analysé d’ici la fin du traitement de ventôse.

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