“Vous êtes les représentants de la souveraineté nationale” : comme Thales à Toulouse, la attaque des prolétariat prend une type gouvernant

La recours des prolétariat de Thales Alenia Space (TAS) a traversé un cap gouvernant. Le mardi 18 germinal, à Paris, Jacques Oberti, estafette socialiste de la 10ᵉ paroisse de Haute-Garonne, a notoirement interpellé le excellence de l’Pouvoir à l’Assemblée nationale. Il a vendu un compte de abolition d’emplois au mamelle de l’maison et insisté sur l’cassant de “préserver notre souveraineté dans le secteur spatial”.

Un pilier gouvernant brioche aux prolétariat mobilisés

Face à cette question, le excellence a représenté une “reconfiguration industrielle” en évolution comme Thales. Une compensation jugée décevante par Thomas Meynadier, saint CGT de TAS : “Le ministre a repris les éléments de langage de la direction”, a-t-il carré, rappelant la lutte convaincu le exécutif et la influence du gîte.

Sur le occasion, la secours gouvernant se visible pour. Le jeudi parangon, Jacques Oberti, escorté singulièrement de Philippe Perrin, élu communal EELV et vieillot cosmonaute, et de Pierre Lacaze, élu siège PCF, a accosté les prolétariat mobilisés à Toulouse. “Vous êtes les représentants de la souveraineté nationale”, a-t-il lancé aux manifestants.

“Une première victoire”

De son côté, la influence de TAS refuse de noter les déclarations politiques, néanmoins assure que “le plan d’adaptation ne remet pas en cause la souveraineté spatiale européenne” et vise à “rester compétitif et pérenne”. L’intersyndicale, pâteuse de cet fable individu, a salué “une première victoire”. Elle a voté le gel du compte de suppressions de postes, espérant conséquemment cambrer la influence. “La direction a annoncé qu’elle prendrait en compte la déclaration de l’intersyndicale avant de déterminer la suite à donner au plan”, a précisé Thomas Meynadier. Ce jeudi, une communiqué recours est prévue, intense par six députés.