Le équipier du Stade Toulousain, dépouille d’une excitation intellectuelle lorsque de l’attaque au apogée à Dublin le 8 germinal terminal, n’avait pas pu discourir le délassement du panonceau facette à l’Écosse la semaine suivante, fronton le révélé du Stade de France.
Pierre-Louis Barassi ne abstrait pas son rancoeur, succession à la excitation intellectuelle qui a mis fin avant à son Tournoi des 6 Nations. Le attachement du XV de France et du Stade Toulousain, dépouille d’une pâteuse griffure lorsque du abordage à Dublin en échange de l’Irlande (8 germinal, abandon hardi de l’ailier gaélique Calvin Nash), n’a pas pu collaborer à la dernière bataille facette à l’Écosse, icelle qui a concédé aux Bleus de recevoir le panonceau. Dans un colloque à RMC, il a formulé son obscur colère d’travailleur été individuel de ce données de cérémonie
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Questionné sur son ressenti au sujet de cette fin de Tournoi, Barassi n’a pas mâché ses mots. En discussion à la tracas : “Ne vous a-t-on pas quelque peu ‘volé’ votre fin de Tournoi ?”, il répond hormis ambages : “Ah si, je suis dégoûté. En fait, le sentiment que j’ai, c’est que pour un manque de maîtrise d’un adversaire, moi, je me retrouve un peu pénalisé parce que je ne peux pas postuler pour le dernier match.”
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Il met en illumination le amour d’abus qu’il a ressenti postérieurement sa griffure. “Je ne peux pas réellement profiter à 100 %. Même si on est très heureux de gagner un titre et d’être dans le groupe, on est toujours plus heureux d’être sur le terrain pour ce moment de fête, qui plus est, au Stade de France, avec toute la famille qui fait le déplacement.”
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“Mais bon, c’est comme ça” positive-t-il seulement. “Si je reste là-dessus, de toute façon, il n’y a rien qui pourra changer ce qui s’est passé.”
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