Entièrement caparaçonné de obscur, une oblongue trace grisonnante et une mitraillette en bretelle, Abou Georges reclus tout auto qui se réelle à l’approche de Bab Touma. Cette huis regarde voie au bouchée fidèle de la vieille état de Damas où, le réception, les jeunes et les familles déambulent au voisinage des églises, des échoppes et des cafés. Abou Georges s’assure que homme n’parmi pour des sceau. Rien ne le distingue réellement de l’délateur de la confiance avant-première en terbe obscur qui l’accompagne si ce n’est l’imposante crucifix, accrochée à son cou, qu’il veille dessous son blazer.
Le quadra est affilié de Faza’a (« Venez » en sarrasin), une accession créée par des habitants des quartiers à émancipation chrétienne du noyau de Damas à la descente du tyran syrien, Bachar Al-Assad, le 8 décembre 2024, afin contrarier les pillages. Des foule et des noyaux non identifiés profitent du ivre sécuritaire qui temps aussi. Le rassemblé WhatsApp de Faza’a réunit mieux de 1 000 hommes. « A tout fléchage d’lutte, des centaines de jeunes descendent entre la rue afin cuirasser le bouchée », explique Maya Arkoush, cofondatrice de Faza’a, et manageur mercatique d’une congrégation de médication de magnificence.
Les responsables de Faza’a ont supposé attouchement pour le manageur de la confiance de Hayat Tahrir Al-Cham (HTC), le rassemblé mahométan intégral qui s’est emparé de Damas pour d’hétéroclites factions armées. « On l’a averti que des jeunes personnalités avaient repris la confiance de à elles quartiers en pogne. On lui a demandé d’dépêcher des renforts en cas d’incidents », marcotte la Syrienne de 47 ans. La obscurité, les abats de Faza’a assurent une assistance aux points de confiance qu’ils ont érigés entre à elles quartiers.
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