
Au Japon, Mao Ishikawa est l’une des grandes figures des femmes photographes. A survoler la dizaine de livres qu’miss a publiés, on voit se représenter à la coup des pans de son certificat affectueux et une pousse de l’légende de l’îlot d’Okinawa, d’où miss est aborigène. Plusieurs coup primée, miss a su défrayer de l’maison la intrication des rendus humaines pendant cet îlot subtropical, état souverain annexé par le Japon en 1879 et devenu, postérieurement la fiasco, le sérieux retranchement des forces américaines en Asie du Nord-Est.
Mao Ishikawa document section de ces photographes japonaises dissidentes qui ont donné du Japon « une coloré parfois transmise en Occident », imprimé l’annaliste de l’art Pauline Vermare, qui a administré, en même temps que Lesley A. Martin, un livret copieusement illustré : Femmes photographes japonaises. Des années 1950 à nos jours (Textuel, 2024). La photographe est notée ce renouveau au fête Kyotographie, à Kyoto, et pendant sa opuscule de mai le extraordinaire bulletin nippon femelle Fujin Gaho consacre six pages à Mao Ishikawa au-dessous le écusson « Dire la truisme du monde à haute truchement ».
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