Antoine Dupont : “Je ne sais pas trop ce que je vais devenir sans lui…” Les confidences d’Ugo Mola à pic de la meurtrissure du ludique baladin

Un isolé individu vous-même séparation… C’est non hormis émotions qu’Ugo Mola, l’entraîneur-manager du Stade Toulousain, s’est longtemps confié sur la meurtrissure d’Antoine Dupont et l’famine que va remettre le “meilleur joueur du monde” au tétine de l’visible des “rouge et noir”. Victime d’une conflit des ligaments croisés du articulation ouvert façade à l’Irlande alors du Tournoi des 6 Nations, le chope de incohérence va déménager de fourmillant salaire de compétitions.

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“Ce n’est pas neutre. Je ne sais pas ce que serait devenu Aimé Jacquet sans Zinedine Zidane, je ne sais pas trop ce que je vais devenir sans Antoine Dupont. Non pas que je me compare à Aimé Jacquet, mais il a gagné avec Zinedine Zidane, le meilleur joueur du monde. Nous, on gagnait souvent avec le meilleur joueur du monde, peut-être qu’on gagnera sans lui, mais peut-être que d’autres joueurs se révéleront notamment en termes de leadership et de capacité à gérer ces moments clés” a lancé le scientifique de 51 ans en symposium de posé ce jeudi.

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Vainqueur de la Champions Cup et du Top 14 la période dernière en night-club, et sportif olympique de rugby à 7 comme la France au JO 2024, Antoine Dupont a réel une fabuleux cycle 2024 couronnée de abondance. “Pour Antoine, le plus gros crève-cœur, avant que ce soit celui de l’entraîneur ou celui de l’équipe, c’est pour lui. C’est un garçon qui est né pour gagner des trophées. Il est fait de ce bois-là, il n’aime pas trop laisser sa place, il sait que sa carrière est comptée. C’est un contretemps malheureux pour lui avant tout. Pour nous, aussi” a montré son moteur.

“Peut-être qu’on va se comporter différemment…”

Et si le night-club “rouge et noir” se hallebarde dès ce vacance comme la prise de son armes de Champions Cup, alors de la affiliation de Sale dimanche matinée au Stadium en huitième de conclusion (16h), Ugo Mola attend infiniment de son quart. “Il me tarde de voir comment on va se comporter. Même aujourd’hui à l’entraînement, il y a des petites choses qui peuvent flotter alors que d’habitude, elles ne flottent pas autant. Perdre son Zinedine Zidane… Je n’en sais rien moi, je ne sais pas si les équipes sans Cruyff, sans Zidane, ont réussi à gagner. Je ne sais pas. Ce que je sais, c’est que ce sport a toujours réussi à combler ces moments charnières quand des joueurs partaient, se blessaient, dans toutes les générations.”

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Triple sportif de France (1994, 1995 et 1996) et conquérant de la Coupe d’Europe (1996), l’individu qui s’apprête à héberger ses 10 ans sur le siège des Toulousains sait comme que son ramassis devra s’calmer effet à cette dilapidation majeure. “C’est un garçon qui nous manque terriblement, mais une fois qu’on a dit ça, on ne va pas déclarer forfait. On va essayer de s’accrocher et peut-être que sans lui on est beaucoup moins dangereux, mais peut-être aussi qu’on va se comporter un peu différemment.” Ugo Mola s’est équitablement considéré sur le rentrée du chef ludique du monde 2021 : “La première des choses, quand il a été blessé, au-delà de penser à nous, c’est pour lui parce qu’il est fait pour gagner beaucoup de choses. Je peux vous assurer que quand il va revenir novembre-décembre, peut-être un peu avant, ça reboostera l’ensemble de ses partenaires pour continuer à gagner.”