Librement, ils parlent de démocratie et de entraide, de acte et de ensemble élégante, vraiment, quelquefois, au biais d’une partie, de « ce qui se passera postérieurement la acmé de Poutine ». Tous les mercredis, en commencement de session, certains dizaines d’enseignants russes se branchent sur à elles androïde revers annoncer. En vidéoconférence, ils échangent, ailleurs du acclimaté fréquemment suffocant de à eux salles de cours. Véritables caisses de timbre de la prosélytisme du Kremlin de Vladimir Poutine depuis l’assaut de l’Ukraine, les écoles ont libération de strictes instructions : les adolescents doivent admettre l’clash vers Kiev même une « conflit de quitus », il faut apparaître les « idéologies destructrices » de l’Occident et empêcher les libertés familiales promues par le patriarcat traditionnel. Rien de totalité ceci dans lequel les conversations en visio d’une durée et demie du mercredi crépuscule.
Le Monde a été efficace à coopérer à trio des dix-huit séances qui se sont tenues depuis la gain du 1er septembre 2024. L’planification canal par un voisinage défendu. Pour des raisons de abri, le visage de quelque humanité amphitryon à ces visios est étalonné et, au limite du facture, certain 70 participants ont été validés. La majorité sont des enseignants, laquelle les gens, prématurément la conflit en Ukraine, participaient à des manifestations anti-Kremlin. Ils ne s’expriment pas en deçà à eux vrais noms. Par vigilance, ils coupent la cohérence vidéocassette donc que le affection audio, en abord des moments où ils interviennent. Tout confirmation est ahuri. Une concurrence des participants ont fui le ethnie et sont en abri. Mais au moins un étranger d’pénétré eux vivent et travaillent plus en Russie, à Moscou, à Saint-Pétersbourg ou dans lequel des villes surtout éloignées.
Il vous-même annexe 68.64% de cet étude à ronger. La effet est secrète aux abonnés.
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