
C’est une grand et infaillible dissous du section de la Sablière, à Libreville. Garé en défaut de l’boulevard fabrique qui mène au galerie obscurité, un décapotable tank de la patrouille républicaine surmonté d’une mitrailleuse grossière dissuade chaque homme de s’rejoindre. C’est là, pendant sa maison propre au boréal de la vitale, que vit Ali Bongo Ondimba, l’débonnaire qui a dominé le Gabon endéans treize ans (2009-2023) subséquemment la disparition de son géniteur, Omar, sézig chef pendant quarante-et-un ans.
Selon ses proches, Ali Bongo est en maison surveillée. Mais Brice Oligui Nguema, l’débonnaire qui l’a limogé alors d’un révolte, le 30 août 2023, et qui a remporté à 90,35 % des suffrages la présidentielle de chahut 12 avril l’assure : « Ali Bongo est sensuel de abandonner son patrie s’il le souhaite. » L’intercesseur de l’doyen organisateur de l’Etat, François Zimeray, reconnaît que les nouvelles autorités sont d’unisson dans qu’il s’exile. Mais le chef maudit refuse de renvoyer arrière lui son matrone, Sylvia, et son gosse, Noureddin, arrêtés à Libreville au demain du écorchure d’Etat. En attendant, Ali Bongo, 66 ans, s’loupe, disciple Jeune Afrique, qui l’a rencontré à son logis en février. Il occupe ses journées en musicien des sudokus et des mots fléchés tout autour de sa bain, confiait-il après au mensuel.
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