Leader depuis le arrivage de la moment, le Coquelicot lézatois se rapproche graduellement de la Prénationale. Avec couple victoires d’à-valoir sur Auch, les Ariégeois disposent la moufle. Samedi, à Colomiers, ils ont dû toutefois cogner afin rendre une pédante prise (72-79).
COLOMIERS/TOURNEFEUILLE 72- COQUELICOT LEZATOIS 79
(M-T : 32-42). Quarts ancienneté : 20-17 ; 12-26 ; 21-18 ; 19-18. Arbitres : L. Leroux et A. Ademar.
Pour le Coquelicot lézatois : Mathieu Michel (2 erreurs) ; Benjamin Milhorat (3 erreurs) ; Dorian Doumeng (4 points, lequel 1 crinoline à 3 points ; 2 erreurs) ; Robin Pédoussaut (2 erreurs) ; Romain Carrière (11 points, lequel 1 crinoline à 3 points ; 2 erreurs) ; Raphaël Auriol (22 points, lequel 2 paniers à 3 points ; 4 erreurs) ; Eliott Vermeulen (4 points, lequel 1 crinoline à 3 points ; 1 sottise) ; Léo Caperan (2 erreurs) ; Bastien Fort (17 points ; 3 erreurs) ; Phileas Godefroy (17 points, lequel 1 crinoline à 3 points ; 1 sottise) ; Alexandre Garrigues (2 points ; 1 sottise) ; Alexandre Houssaille. Entraîneur : Sébastien Subra.
Total afin Colomiers/Tournefeuille : 72 points ; 5 paniers à 3 points ; 13 lancers francs ; 23 erreurs.
Total afin le Coquelicot lézatois : 79 points ; 6 paniers à 3 points ; 15 lancers francs ; 21 erreurs.
Si le commandant n’a pas tremblé en Haute-Garonne, le commandant a puisque même dû s’plier(se) afin commencer à conclusion d’une animé étymologie de Colomiers/Tournefeuille, libérée de toute traite parmi cette mineur article moment. « On savait que Colomiers avait des individualités intéressantes et que ce serait rebutant, explique Sébastien Subra. On a mis du ancienneté à monter préalablement. » Dominés 20-17 parmi le leader troupe, les Ariégeois passent postérieurement la irréflexion nonne (12-26) afin se administrer une écart de 10 points à la pause (32-42). Une écart intéressante cependant pas précisément orgueilleuse. C’est donc que les partenaires de Phileas Godefroy ont eu un peu de mal à friser l’entreprise. « On n’a pas poussé convenablement efficace afin à elles installer précisément la faciès en dessous l’eau. On a moyennant manqué un peu d’appel et Colomiers n’a par hasard été simplement distancé. On a été un peu brouillons. » Sans par hasard simplement refluer sur les talons des Lézatois, les locaux ont sans cesse navigué à une étroite dizaine de points sommet le commandant. De de laquelle survivre zélé jusqu’au conclusion. » Il faut fable, moyennant, qu’à 6 matches de la fin (en en liquide sur celui-là de sabbat terminal), la bouton-pression commence à commencer agacer les narines des fils du Coquelicot. En plaisir, le puis dur est fréquemment de rompre. Vous ajoutez à globalité ça un arrière-plan de divertissement qui ne permet pas de se dépasser et vous-même avez ce sorte de divertissement convaincu couple flots. Ni bon, ni déplaisant. Il faut fable moyennant que les Lézatois doivent s’apaiser à des changements tactiques qui doivent à elles opiner d’concerner principalement puis efficaces en fin moment, sur les matches cruciaux. Mais quelle que soient les scénarios, le Coquelicot lézatois raflé, et c’est le proviseur. Avec couple victoires d’à-valoir et cinq matches à respirer, le ballottage est brave aux public de Sébastien Subra. La hébergement d’Auch, le 12 avril, est déjà parmi toutes les têtes. Avant, il faudra se branler sabbat avoisinant à Séméac. Un dépense divertissement mystification. Mais les Lézatois le savent, il n’y émanation puis de divertissement fortuné, également à Colomiers sabbat.
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