Biathlon : “J’ai besoin que l’on me foute la paix !” Le saturation de Lou Jeanmonnot continuation à sa horrible cabriole lorsque de la Coupe du monde

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Tombée à un couple de hectomètres de la arête d’survenance de la mass-start femmes, le 23 germinal moderne lorsque de la dernière règne de Coupe du monde de biathlon, l’combatif métropolitain va désormais influence posséder de sa cadence de ponts. Une tergiversation lequel lui-même dit affairé tenir soif.

Une cabriole qui appoint en défaut de la empli. Le 23 germinal moderne, lorsque de l’terminal coude de Coupe du monde de biathlon, et plus qu’lui-même se livrait à une parfait combat auprès l’Allemande Franziska Preuss, la biathlète française Lou Jeanmonnot avait chuté à 500 mètres de l’survenance, laissant sa ennemie libérer le fort regard de spath à Olso (Norvège). Près de un couple de semaines principalement tard, la échappatoire de Pontarlier (Franche-Comté) attend vigoureusement de influence s’souscrire des ponts, même lui-même l’a confié comme les colonnes de Ski Chrono.

“Mentalement, j’ai besoin que l’on me foute la paix (rires). Depuis quinze jours, il n’y a pas une seule journée où l’on ne m’a pas parlé de ma taule d’Oslo, donc j’ai hâte que ça s’arrête” a lancé icelle qui a après-midi rayonné lorsque des Jeux Militaires puis quatre titres glanés. “J’ai encore un peu les pensées et les souvenirs de la dernière course […] Quand j’aurais pris des vacances, j’aurais le recul nécessaire pour apprécier toutes les bonnes choses qui ont été faites cette saison. Aujourd’hui, j’ai encore du mal à ouvrir les réseaux sociaux” a aussi confié l’combatif de 26 ans.

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VIDEO. Chute de Lou Jeanmonnot : “Je plante mon bâton sur mon ski…” La Française raconte quoi lui-même a nomade l’terminal coude de la de saison

Loin des écrans, la biathlète est davantage confrontée à des observations depuis cette cabriole qui a aventure le flux du monde. Mercredi réunion, Lou Jeanmonnot réalisait conviée à la congé des Chronos d’Or à Annecy. “Ce soir, il faudra voir le nombre de fois où l’on va me taper sur l’épaule en me disant “C’était bien, c’est dommage ce dernier virage’’. Même si je suis ok avec ça, il y a toujours une dizaine de personnes par jour pour me le rappeler. Quand les gens passeront à autre chose, ça m’aidera aussi” a-t-elle soufflé, un couple de heures prématurément d’idée sacrée “championne des champions” et “biathlètes de l’année” bandoulière d’Eric Perrot.

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