
Pour la assistant coup en un mensualité, une apparition au nom de la plaidoyer de la discipline a eu recto à Toulouse. Dans le escorte, l’affolement trouvait concret front aux décisions radicales de l’chemin Trump aux Relevés-Unis.
D'”accessible” à “vulnérable”, en touriste par “diversité”, “égalité”, “femme”, “femme enceinte”, “réchauffement climatique”, “victime” ou “santé mentale”, les 200 mots désormais bannis par l’chemin Trump aux Relevés-Unis ont été majestueusement énoncés vis-à-vis le Quai des Savoirs ce jeudi 3 avril. Le aubade a lancé la assistant apparition “Stand up for science” à Toulouse alors icelle du 7 ventôse qui avait additionné un millier de hommes.
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Dans à eux compromis jusqu’aux allées Jean-Jaurès, plusieurs manifestants avaient troqué les traditionnelles écriteaux quelque des cuillères, devenues symboles de dispute des fonctionnaires américains. “C’est une référence et un contre-pied au mail titré “fork in the road”, qui signifie être à la croisée des chemins et qui avait été adressé aux fonctionnaires par Elon Musk, les invitant à choisir d’aller dans son sens ou à démissionner. Fork signifie aussi fourchette, d’où l’image de la cuillère”, explique un enseignant-chercheur franco-américain.
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Christine Jean, découvreuse au Centre de recherches en carcinologie de Toulouse, est couronnement réprouver la discipline et la nationalisme. Elle pense aux étudiants également. “Une étudiante qui travaillait avec nous est partie pour faire un post-doctorat aux États-Unis sur le cancer du sein. Avec le mot femme interdit, comment son laboratoire obtiendra-t-il des financements ? Comment va-t-elle pouvoir publier ses recherches ? Et elle ne peut rien dire de peur de perdre son visa. Toutes les recherches vont être impactées, il y a une volonté de changer la vérité. Une chose pareille était inimaginable”.
“Une petite musique s’installe : anti-science, antivax, anti-femmes et climatosceptique”
Au porte-voix, Emmanuelle Perez-Tisserant rappelle quel nombre “les universités ont un modèle à chérir et à protéger”. Historienne thérapeute des Relevés-Unis à l’possibilité Toulouse 2-Jean-Jaurès, miss a co-initié le branle gaulois “Stand up for sciences” verso l’astrophysicien Olivier Berné. “Nous sommes tous soufflés de la rapidité et de la brutalité de ce qui est en train de se passer. Les sciences dures mais aussi les sciences humaines sont touchées et ce système universitaire que nous avons tellement envié est en plein retournement. Cette petite musique qui s’installe, anti-science, antivax, climatosceptique, dénigrant les minorités, les femmes, c’est très inquiétant et ça va nous impacter tous”, traîneau Emmanuelle Perez-Tisserant dans lequel les rangs des manifestants.
“L’effondrement du mythe des universités américaines”
Pour Hilary Sanders, enseignante-chercheur en ethnographie des Relevés-Unis à l’possibilité Jean-Jaurès, le entracte est gentilhomme. Née aux Relevés-Unis, initiale agrégative de l’possibilité de Columbia, miss parle de “l’effondrement d’un mythe, d’un basculement choquant et décevant”.
Dans certaines disciplines, hormis qu’il ou bien gêne de mots illicites, les coupes budgétaires ont déjà à eux percussion. Deux astronomes de l’IRAP évoquent le flash pardonné par à eux collègues. “Au sein de l’Institut du standard, qui supervise les normes, le groupe de spectroscopie atomique, qui caractérise les atomes par la lumière, a été licencié. Or, nos télescopes ont besoin de cette base de données et de son actualisation, c’est essentiel pour notre travail”.
En France, ce 3 avril, 25 manifestations “Stand up for Science” ont été organisées.
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