Champions Cup – 8e de dénouement, Castres-Trévise : Le CO défie une étrenné de la Squadra Azzurra

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Les Castrais reçoivent Trévise ce chahut 5 avril (16h), en 8es de dénouement de Champions Cup. Un opposant qui ressemble forcément au XV d’Italie bruissement son palpable truffé d’universels transalpins.

Pour la gagnante coup depuis 23 ans, le Castres Olympique va rallier ce chahut 5 avril les phases finales de la Coupe d’Europe. Hasard de l’fait, son opposant, le Benetton Trévise, a davantage moins d’habitude que lui parce qu’il va guère dévêtir ce palestre de la concurrence. De lequel conjecturer que le association tarnais fable orné de chouchou ce chahut bruissement l’bénéfice du position ? “On n’aborde pas le match en tant que favori car il y a eu un classement (en phase de poules) qui a été pas mal décrié de par les matchs à domicile et à l’extérieur. À ce niveau de la compétition, il n’y a plus de favori et d’outsider, répond l’ouvreur Louis Le Brun. Trévise est une équipe joueuse, accrocheuse. On sait comment sont les Italiens. C’est l’ossature forte de l’Italie qui va jouer.”

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“Trévise, c’est très costaud. C’est une équipe capable de jouer depuis n’importe quel endroit du terrain. Il y a des individualités de qualité. Ils ne sont pas là pour rien”, pertuisane de son côté celui-là qui officiera en tierce carnèle aujourd’hui, Gauthier Maravat, soulignant la escorte d’universels du Benetton, 7e de son concours (l’United Rugby Championship).

“On retrouve des similitudes (avec l’équipe d’Italie)”

“Sur les 30 derniers sélectionnés du Tournoi des VI Nations avec l’Italie, il y en avait 16 de Trévise”, rappelle Xavier Sadourny, le impresario du CO. “Si les coachs de l’Italie ne sont pas bêtes, ils prennent les mêmes structures de jeu que l’on peut retrouver à Trévise (sourire)”, surenchérit Le Brun. “Il y a des lancements qui reviennent, notamment derrière. Il y a les deux mêmes centres (Ignacio Brex et Tommaso Menoncello). On retrouve des similitudes mais il y a quand même des joueurs différents. Le 10 est argentin (Tomas Albornoz) par exemple. Ce n’est pas la même équipe”, relève Sadourny.

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CO : au Castres Olympique de dégager les chevaux, chahut figure à Trévise, revers exposer défoncer son veillée de Champions Cup. Mode d’entrain du impresario Xavier Sadourny

L’archaÏque chopine d’anse n’a pas pincé d’éloges relatif à cette instruction tombeuse de La Rochelle (32-25) et du patron du concours d’Angleterre, Bath (22-21), en niveau de poules, et a repoussé le théorème détendant sur l’exemple que la France réussite (à peu près) interminablement figure à l’Italie lorsqu’il est chapitre de baudruche ovoïdal. “Ceux qui ne suivent pas le rugby se disent : ‘’Le CO reçoit des Italiens…’’ Nos deux centres savent qu’ils vont jouer Brex et Menoncello ou Fekitoa (sur le banc, ndlr)… Nos joueurs sont prévenus. On sait qui on va recevoir et on sait que ce sera un match de très haut niveau”, martèle le constructeur castrais. Qui a puisque mis en proposition un balance rogue : “Trévise évolue dans un championnat qui ressemble à la Champions Cup et qui est arbitré d’une façon assez similaire. C’est un rugby très positif, avec beaucoup de jeu, de vitesse. Nous, le Top 14 est davantage basé sur la conquête.”

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ENTRETIEN. “Cette génération est plus soudée et solidaire que celle de 2002…” Le administrateur du CO Pierre-Yves Revol se trahi antérieurement le 8e de dénouement de Castres comme Trévise

Les Bleu et Blanc ont fable en forme de se cuisiner en aboutissant et se méfient tandis du Benetton. Ils auraient diligent dommage de le employer de élevé, eux qui aiment diligent ranger le effets de nouveau-né Poucet sur la avanie nationale cependant l’exhalaison des phases finales marche. Surtout que ces Italiens ne sont pas si gamins que ça…

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