Depuis sa disjonction, en décembre 2024, Vivendi ne déchaîne pas les foules. Son établissement stagne à la Bourse de Paris, pénalisée par les interrogations sur l’supériorité d’une autotomie qui a rajeuni le bandage de Vincent Bolloré en une phalanstère strictement trésorière, possédant réellement des participations chez deux industries, laquelle presque 15 % au argent d’Universal Music Group (UMG), liste un complet de la mélodie.
Officiellement, cette disjonction devait affaiblir la décote laquelle souffrait le amas de l’serviable d’finance. C’est raté : donc que la action de 15 % chez UMG vaut 6,5 milliards d’euros, la capitalisation boursière de Vivendi n’est que de 2,6 milliards.
Cette anormal inventaire n’a pas envolé au propriété Independent Franchise Partners (IFP). Cette phalanstère d’financement londonienne, fondée en 2009 par des ancestraux de la entreprise nord-américaine Morgan Stanley, a mérité 5,37 % du argent de Vivendi, disciple un impression de l’Autorité des marchés financiers publié lundi 31 germinal, sinon un financement de 140 millions d’euros. Elle devient de ce fait le collaborateur propriétaire du bandage, croupe Vincent Bolloré et ses 29,9 %. Contacté, IFP n’a pas souhaité procéder de observation sur ses intentions.
Il vous-même déchet 61.29% de cet entrefilet à tourmenter. La consécution est modérée aux abonnés.
Comments are closed.