Le gérer du CO, Xavier Sadourny, espère constater ses joueurs surtout “libérés” à logis derrière ne pas alimenter de gémissement et stock une renseignement fin de épreuve à suspense. Coup d’ballot, de ce huitième de conclusion de la longue compétition d’Europe, sabbat 5 avril à Pierre-Fabre : 16 heures.
Il faudrait délibérer à Xavier Sadourny quel nombre de gravité a-t-il vagabond entre sa endroit habileté du échelon Pierre-Fabre en même temps que les fins de épreuve irrespirables que lui ont incident stock ses joueurs cette moment. Hormis pour Perpignan (27-12), le Stade Français (35-13) et les Bulls (49-10), les “bleu et blanc” ont généralement joué en même temps que le feu en fin de matière.
“C’est l’histoire de notre saison mais je préférerais moins trembler, sourit le manager olympien. Il nous manque ce petit ou gros détail qui nous permettrait d’être moins tendus sur les cinq dernières minutes.” La intronisation de Toulon (28-26), sabbat, n’a pas évadé à la principe. Après la mêlée, Sadourny s’rencontrait montré soulagé, délibéré que son CO n’rencontrait ”pas passé loin de la catastrophe”.
“Moins libérés qu’à l’extérieur”
Il avait aussi confié discerner un ratage de expansion de ses protégés à logis. “Je trouve qu’on est moins libérés à la maison qu’à l’extérieur. Après, ça faisait très longtemps qu’on n’était pas revenus à la maison. Là, on va enchaîner un deuxième match à domicile, peut-être un troisième (si Clermont gagne à Northampton et que le CO se qualifie) puis il y aura la réception de Vannes”, rappelle le spécialiste auvergnat. Avant d’accoler : “Il y a aussi le contexte du match. Le week-end dernier, si on avait concrétisé un petit peu plus en première mi-temps, peut-être qu’on se serait lâché davantage en seconde période.”
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Si Sadourny trouve ses joueurs encore entre le arrière-pensée à Pierre-Fabre, eux réfutent l’avant-goût d’une discret désarroi. “Je ne pense pas qu’on soit plus frileux à domicile qu’à l’extérieur, estime Louis Le Brun. Samedi, on a fait une superbe première période. On a été bien face au vent puis on a peut-être un peu mal géré le vent avec nous. Ce sont des choses qu’on doit plus bosser.”
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“Il n’y a pas plus de pression à recevoir une équipe à la maison, appuie Gauthier Maravat. Justement, on est trop contents de jouer devant notre public, nos familles. C’est hyper important pour nous. Moi, je pense que c’est mieux de recevoir.” Mais l’formation à logis n’est-elle pas celle-là qui a encore la avoué de citer du jeu ? “Ça dépend, chaque match est différent, répond le deuxième ou troisième ligne tarnais. Aux Saracens (32-24) par exemple, on était à l’extérieur et on n’a pas joué au ballon mais à Lyon (38-40), notre devise était de jouer tous les ballons.” Et lesquelles sera la proposition ? Joker. Gauthier Maravat n’est pas tombé entre le ruse et n’a pas dénoncé la perruque.
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