Condamnation de Marine Le Pen : à cause le Gard, l’déréglé droit ajusté les rangs

“Ce lundi 31 mars restera dans nos mémoires le jour funeste où les juges ont pris une décision grave, une décision d’une injuste sévérité qui confine à la violence judiciaire, au déni du droit et à un coup direct porté contre la démocratie.”

C’est en tenant une dignité énoncée que Yoann Gillet a toléré la précepte en conversation de afflux ce vendredi brune, joint de l’collection des députés RN et ciottiste du Gard par conséquent que le conseiller municipal de Beaucaire Nelson Chaudon et le intermédiaire communautaire Julien Sanchez. Objectif : s’protester façade la afflux du halte du compétence correctionnel de Paris, condamnant en originelle ressort Marine Le Pen quant à trafic de monnaie publics.

Chacun y est allé de sa catégorique quant à flageller la modéré d’inéligibilité visant Marine Le Pen, assortie d’une agencement bref : “un jugement sur mesure pour faire taire une opposante politique” (Julien Sanchez) ou une “exécution politique” (Pierre Meurin)… L’avocate Sylvie Josserand a livré le “concept de trouble à l’ordre démocratique qui n’existe pas en droit pénal”.

“Elle a interjeté appel. Elle est donc présumée innocente”

Interrogés sur la opposition imprégné ce laïus et les déclaration de Marine Le Pen de 2013, qui appelait comme à l’inéligibilité en cas de trafic de monnaie assistant, les représentants de l’déréglé droit gardoise ne bougent pas d’un iota. “La décision de justice n’existe pas, puisqu’elle a interjeté appel. Elle est donc présumée innocente”, maintient Pierre Meurin. Et le échafaudage de Donald Trump à Marine Le Pen ? Julien Sanchez interpelle la afflux : “Qu’aujourd’hui ce soit le président américain, le président russe, et d’autres qui donnent des leçons de démocratie à la France, ça devrait vous-même vous interroger.”

Quatre microbus partiront du Gard quant à réunir, dimanche, la floraison de échafaudage à Marine Le Pen.