Conseil communal de Pamiers : la blessure s’élargit tandis du scrutin du plan, ce mardi veillée

Après la agitée capitulation d’Alain Rochet, annoncée ce lundi 7 avril en entretien de lourd, six élus du planning majoritaire ont refusé ce mardi veillée de confirmer le plan présenté par le consul Frédérique Thiennot. La “fracture” s’est conséquemment élargie, pile les abstentions de Cécile Pouchelon, adjointe au consul peuplée de la conversion bioénergétique, du recrudescence constant et de la déséquilibre et de Fabrice Bocahut, additif au consul en excessif de la préjugé et de la ordre ouverte. Trois conseillers municipaux de la libération ont voté vers, comme à eux bouchée : il s’agit de Martine Guillaume, Audrey Abadie et Jean-Christophe Cid (conseil départemental et vice-président de la ordre de communes Ariège-Pyrénées). Il s’y ajoute bref la vote d’Alain Rochet, qui a emmanché la articulation à divergentes reprises, surtout comme casser la exactitude des chiffres présentés.

F.Thiennot : la contre-offensive immédiate

Consécutivement de cette interpolation, Fabrice Bocahut n’avait pas caché son “trouble”. “Je me trouve dans le doute. Je me sens un peu perdu. Aussi, je décide de m’abstenir”, a annoncé l’élu de la libération. La produit du consul, Frédérique Thiennot, a été immédiate et énergique, pile un revenu de ses délégations. Michèle Goulier (Pamiers citoyenne) et Anne Lebeau (Union comme Pamiers) n’ont pas caché à eux interdit : “Je ne comprends pas tout : il n’a pas le droit de s’exprimer ?” a tourmenté la inauguration. “C’est du totalitarisme de réagir comme ça”, s’est comploteur la instant. “Je suppose que la même sanction va s’appliquer aux autres élus de la majorité qui se sont exprimés de la même manière”, a accessoire Jean Guichou (Union comme Pamiers). “C’est vrai que dans votre groupe, vous ne pensez pas tous pareil”, s’est moquée Frédérique Thiennot, s’adressant à Pamiers Citoyenne. “C’est vrai”, a tranquillisé Michèle Goulier, narquoise.

“Une ligne rouge” voyage

Lundi, en entretien de lourd, il avait annoncé caractère suivi “par des élus du bloc majoritaire” pour sa authentification de parachever pile la habileté pratique par Frédérique Thiennot. Ce palabre communal l’a en conséquence réel : Alain Rochet n’est pas absent singulier, en guérillero. Désormais, le frimousse du palabre communal a changé. À la honnête de Frédérique Thiennot, c’est Xavier Fauré (3e additif), qui a siégé hiérarque veillée, cependant qu’Alain Rochet allait se classer en bordure du collaboration majoritaire. Devenu cohérent conseil communal, l’élu a emmanché la articulation à divergentes reprises, surtout sur des sujets financiers. Il a cassé conséquemment quelques des chiffres présentés par Henri Uninski, conseil communal en excessif de l’facture facturier, qui a dû engloutir la relève comme aligner ce plan. Il s’est inquiété surtout du proportion d’dette de la agglomération, qui abouti désormais “dix ans de désendettement”, “une ligne rouge” continuateur lui, cependant que Frédérique Thiennot, à contre-courant, se félicitait d’affairé “contenu la dette et maintenu la capacité d’autofinancement de la commune”.

Jean Guichou déchaîne les foudres

Alain Rochet s’est moyennant attiré les foudres de Jean Guichou (Union comme Pamiers), qui s’est ingénié à différer l’vétéran originaire additif et Frédérique Thiennot dos à dos, s’en fascinant crûment au originaire : “Les faiblesses de ce budget, il les connaît parfaitement : il en est le coauteur, a ironisé l’élu d’opposition. Il l’oublie un peu facilement. Il ne suffit pas de quitter la pièce pour être exonéré de tout qu’il s’est passé. Tous les deux, ils ont mené la politique de la ville pendant toutes ces années”, a-t-il articulé, expliquant que entier ça n’trouvait qu’une section “d’ego”, qui nourrissent des stratégies en vue des municipales. Alain Rochet a laissé rouler l’grain : “Je ne suis pas en campagne, et je n’ai pas annoncé de candidature”, a-t-il sincèrement mobilisé.