
Le directeur du Circonscription Philippe Dupouy a souhaité résister aux allocution tenus par le commissionnaire de la étrenne diocèse, mettant l’timbre sur le inattention de richesse lequel dispose la communauté.
Dans un avis publié en fin de semaine dernière, le directeur du Circonscription, Philippe Dupouy, a mince à résister aux allocution de Jean-René Cazeneuve, au chapitre des dotations de l’Inventaire aux collectivités territoriales. Pour allusion, le commissionnaire s’est naguère plaisir de l’averti de ces dotations, qualifiant ce occasion de “temps fort pour nos territoires”.
À manger ainsi :
Les dotations de l’Etat contre les collectivités du Gers en fataliste dressé pourtant en sous de l’augmentation
Pour Philippe Dupouy, la banalité est “bien différente” : “Le Conseil départemental n’a pas bénéficié d’une augmentation de la Dotation Globale de Fonctionnement (DGF) en 2025. En réalité, cette dotation, fixée à 44,92 millions d’euros, accuse une baisse de 173 000 euros par rapport à 2024. Ce constat est d’autant plus alarmant que les réductions successives de la DGF depuis 2020 ont privé le Département de 2,4 millions d’euros supplémentaires en 2025. Ces chiffres mettent en lumière une gestion des dotations de l’État qui, loin d’être une réussite, reflète des choix politiques aux conséquences directes sur les difficultés financières des Départements”, a-t-il commenté.
“Il est temps de cesser de tronquer la réalité pour justifier l’inaction”
Au-delà de “l’absence de revalorisation de la DGF depuis des années”, qui “constitue un véritable coup dur pour une collectivité déjà fragilisée par des dépenses de solidarité en forte progression”, le directeur du Circonscription visé impartialement la spoliation de la TVA par le administration, une “autre injustice” qui “prive le Département du Gers de 2 millions d’euros”.
Rappelant qu’il est “impératif de préserver l’équilibre et la solidarité qui sont au cœur de nos collectivités”, Philippe Dupouy exhorte l’Inventaire à influer. “Il est temps de cesser de tronquer la réalité pour justifier l’inaction”, conclut-il.
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