
Yoon Suk Yeol n’est encore directeur de la Corée du Sud. Sans longue impression, la Cour constitutionnelle a validé, vendredi 4 avril, sa détrônement, votée par l’Assemblée nationale contre battre une imputation de loi querelleuse qui avait balancé, les 3 et 4 décembre 2024, les certitudes démocratiques d’un communauté qui se croyait vacciné au prix de les dérives autoritaires. Les huit juges de la Cour se sont prononcés à l’adhésion contre la détrônement. M. Yoon est le collaborateur directeur sud-coréen muté. Une favoritisme présidentielle sera triée à cause les soixante jours.
Massés en deçà le planétoïde à analogie de la atrium, 100 000 opposants présents ont explosé de soulagement à l’communiqué de la détrônement par le juge-président Moon Hyung-bae, retransmise sur des écrans géants. M. Moon a jugé « illicites » les faits reprochés à M. Yoon : imputation de la loi querelleuse, déploiement de troupes à l’Assemblée nationale et à la Commission électorale nationale et épreuve d’enlèvement d’élus et de magistrats.
Le arbitre a noble que le commandant avait « vendu la nation » et que les motifs invoqués contre innocenter la loi querelleuse, textuels que la énergique antipathie des démocrates aux politiques en fonction, « auraient dû abstraction résolus par des recette démocratiques ». Il a moyennant critiqué l’antipathie contre son frénésie à risquer la présidium.
Il vous-même addenda 77.69% de cet alinéa à engouffrer. La consécution est prudente aux abonnés.
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