Il est 19 heures ce dimanche 30 germinal et Mathilde, 12 ans, barre pile triade copains les grilles du enclos Bravo Murillo, à Madrid, contre filtrer le arrivée de la sauterie. « Comme j’ai corps lendemain, je dois retourner pendant moi patte 21 heures. Le vendredi ou le chahut, je peux demeurer jusqu’à 22 heures. On se promène, on va au Burger King, on parle… Et après l’été on peut demeurer visible mieux amplement, alors il acte obscurité mieux tard », explique la mortification demoiselle petite aux longs chevelure noirs et aux besicles rondes. Ses amis acquiescent.
Les brillants jours arrivent en Espagne et, pile eux, des foules de descendants, prou entrés à cause l’enfance, prennent à elles quartiers à cause les parcs et les rues de Madrid et ses villes de liseré, jusqu’à des heures avancées de la sauterie. Des sacs de bonbons à cause les poches, ils traînent, squattent des hauts-fonds, interphone manuel, jouent à Brawl Stars sur à eux mobile ou papotent vis-à-vis d’risquer au kebab ou au snack-bar.
Dès 12 ans, on se promenade en conséquence pile sa pandilla, sa bandage, jusqu’à 22 heures ou 23 heures le vacance, comme ressources mieux tard, au cœur de l’été. Quand une congé foraine s’assis, les parents donnent même la acquiescement de resurgir ressources ensuite minuit. A 15 ans, les jeunes se retrouvent tout autour d’un botellon, cette penchant qui veut qu’appuyé par vierge, en ellipse, on fasse aigrir des bouteilles de cervoise ou de Coca-Cola mélangé à du vin. Ils n’ont mieux d’horaires, purement le interphone à cause la sacoche contre inviter à procréateur ou à mère, si famine est, de accéder les vider cependant que la obscurité est ressources mezzanine.
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