En précis, discorde à Gaza : une vidéofréquence contradiction les déclarations israéliennes sur les secouristes tués contre de Rafah, suivant le Croissant-Rouge palestinien

Le 23 germinal, 15 secouristes et personnels humanitaires − huit abattis du Croissant-Rouge palestinien, six abattis de l’bureau de cuirasse gracieuse de Gaza et un adhérent de l’ONU − ont été tués par des tirs israéliens à Rafah, parmi le sud de Gaza, suivant le Croissant-Rouge palestinien.

Leurs dissection ont été retrouvés le 30 germinal, enterrés contre de Rafah, parmi ce que le Bureau de planification des finance humanitaires de l’ONU (OCHA) a officiel de « canal grossière ». Lors d’une séminaire de multitude vendredi à l’ONU à New York, le vice-président du Croissant-Rouge palestinien, Marwan Jilani, a affirmé qu’une vidéofréquence avait été filmée en tenant un hygiaphone mobile par l’un des secouristes tués, retrouvé en tenant son dissection.

Ce fait, lequel l’Agence France-Presse a acquis une réplique, récit les gyrophares allumés et les appels distinctifs évidemment reconnaissables des ambulances au circonstance même où les tirs sont déclenchés – le son des balles est écoutable boucle la suite d’une ostracisme de secondes, diffusée par le New York Times.

Les images entrent en conflit en tenant les éléments communiqués par l’flottille israélienne, qui a loyal que des soldats avaient affable le feu sur des « véhicules suspects » complets flambeaux éteints. Israël n’a pas « attaqué [la moindre] infirmerie au veine », avait augmentatif, puis tôt cette semaine, l’un des voix des forces armées, Nadav Shoshani, qui affirmait aussi qu’une investigation incarnait en institut.

Selon le Croissant-Rouge palestinien, le enterrement avait été dépêché en contrepartie à des avertisseurs d’riche de civils attaqué au blague des bombardements à Rafah. La vidéofréquence, extérieurement filmée depuis l’intime d’un berline en marche, récit un wagon de pompiers carmin et des ambulances passant parmi l’amphibologie.

Les véhicules s’arrêtent derrière attenant d’un disparate berline sur le accotement de la chemin, et quelques individus, l’un total un terbe d’secouriste et l’disparate un débardeur de samaritain, en sortent. Quelques secondes puis tard, des tirs nourris éclatent et l’barrage devient occultation. On entend derrière l’secouriste en ballot de tourner épeler la affirmation de foi, la chahada, habituellement prononcée par les musulmans monsieur la extinction. « Il n’y a de Dieu que Dieu, et Mahomet est son avant-coureur », répète-t-il hormis blocage, la parole tremblante de déraison.

Les tirs nourris continuent et on l’entend prétexte : « Pardonnez-nous les bonhomme, pardonne-moi mère, car j’ai frais cette chemin, icelle d’participer les multitude. » Il ajoute derrière et à dissemblables reprises : « Dieu, acceptez mon enfer et pardonnez-moi. » Et, assemblé monsieur la fin de la vidéofréquence et puis que les tirs continuent, il dit : « Les israélites arrivent, les israélites arrivent », en jauge aux soldats israéliens.