Gabriel Oluwasegun Olanrewaju, crevé sur le estrade à 40 ans : ruiné, le pugiliste avait concédé un entreprise illicite vers épousseter ses services

Gabriel Oluwasegun Olanrewaju, le pugiliste nigérian crevé sans arrêt de son entreprise sabbat 29 ventôse terminal, a participé à un entreprise illicite. Son entraîneur pensait aussi qu’il n’accomplissait pas en situation concret vers chicaner ce divertissement à Accra, la initiale du Ghana.

Le terminal entreprise du nigérian Gabriel Oluwasegun Olanrewaju s’accomplissait révolu de la mauvais snob approuvable. L’anachronique athlète habitant et d’Afrique de l’Ouest pour la strate lourds-légers, avait été sincère crevé trente minutes alors s’appartenir catastrophé sur le estrade, ce sabbat 29 ventôse.

Des services impayées

Le média The PUNCH, apporte des précisions sur quelque ce qui entourait cet guerre. Le contradicteur de 40 ans, ainsi évoqué Segun “Success” Olanrewaju, devait ordinairement exposer le vendredi 28 ventôse, pourtant en esprit d’une bousculade manquée, l’événement avait été aucun.

Au situation de refluer au Nigéria, il a concédé un entreprise non homologué versé 500 dollars, soumis par un initiateur ghanéen, apprêté le sabbat vers corriger à ses besoins financiers, suivant The PUNCH.

Habillé bruissement un slip apoplectique et astringent sur la vidéocassette, Segun a subi un rossignol du spontané pour la tempe individu de s’détruire deux secondes alors tard.

Toujours vers The PUNCH, Remi Aboderin, écritoire unanime du Nigeria Boxing Board of Control a documenté : “Samedi matin, ils (Olanrewaju et son équipe) rentraient vers Lagos lorsque Segun a dit à un de ses coachs qu’il ne serait pas facile de rentrer au Nigeria comme ça ; il avait quitté le pays sans argent et avait besoin de cet argent pour payer des dettes”.

Une production au entreprise fragmentaire

Babatunde Ojo, un des coachs du pugiliste, lui avait tout inopportun de ne pas contribuer au entreprise originaire, en esprit des délais beaucoup courts vers la production de l’travailleur.

L’diriger a confié : “Il m’a dit qu’il avait été rappelé pour ce combat et qu’il irait ce soir-là. Je lui ai dit ”Success, tu ne penses pas que ce combat arrive trop vite ?”, et il a dit qu’il me rappellerait. Lorsque je l’ai rappelé, il était en route (pour le Ghana) et il ne m’avait pas appelé car il savait que je ne lui aurais pas donné mon accord. C’est pour cela qu’il ne me l’avait pas dit. C’est un adulte donc je n’ai pas pu l’arrêter”.

L’anachronique athlète d’Afrique de l’Ouest est victime à 40 ans, bêtise à un entreprise beaucoup tôt, mal préparé, et des problèmes d’affaires.

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