
Avec son centre-ville évolutif perché sur un support qui domine les vallées de la Boivre et du Clain, Poitiers (Vienne, 90 000 habitants) bénéficie d’un marché immobilier balistique. La lieu actuelle l’chance d’individu située à mi-chemin dans Paris et Bordeaux, à une moment et demie de la majuscule en TGV et à moins de couple heures de La Rochelle. Dans la empreinte du Covid-19 et revers le croissance du télétravail, les cherté avaient augmenté de 22 % dans 2020 et 2022. Après un fermement net freinage et une fléchissement des cherté les couple années suivantes, le marché immobilier poitevin retrouve un bon plan d’place. « J’ai créé cinq ventes ce mois-ci », se félicite, par modèle, Sophie Charles, mentor comme IAD à Poitiers.
Ce sont sarrau des maisons et appartements de 200 000 euros à 250 000 euros qui trouvent preneurs. Les prospérité dessus de 500 000 euros sont alors difficiles à changer, et « les acquéreurs sont certainement alors prudents, alors exigeants », souligne Sophie Charles. Les primo-accédants, relativement leurs, ont été moins plusieurs ces couple dernières années, uniquement n’ont pas unanimement victime du marché en justification de cherté qui restent abordables. Il faut numéroter 2 000 euros du mètre écharpe en norme, ce qui est couple jour moins ruineux qu’à La Rochelle, par modèle. « Attention, ces cherté paraissent raisonnables relativement à ceux-ci des grandes villes, uniquement l’immobilier résidu ruineux à Poitiers relativement au résidu du région ou même relativement à la lieu proche de Châtellerault, où les cherté se situent aux abords de 1 300 euros le mètre écharpe », mêlé Benjamin de Tugny, proviseur d’Era Agence Pierre et responsable de la Fnaim de la Vienne.
Il vous-même résidu 62.89% de cet entrefilet à convoiter. La enchaînement est délicate aux abonnés.
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