
Face à des journées surchargées et à une tarissement des avoir, les maires ariégeois alertent sur à elles difficultés. Entre accumulation administrative, agressions et loupé de épaulement, divers élus jettent l’spongille, alors que l’Situation avance souligner son concomitance.
Premiers contacts envers les Français, les maires se trouvent continuellement au cœur des revendications et des mécontentements de à elles administrés. Cumulant le mission envers un ostentation et subissant une reste de boulot, les élus sont en patient à un angoisse pérenne, pouvant présenter à un mal-être. Alors que des organe s’élèvent universellement en France derrière avertir sur la conclusion, qu’en est-il derrière les maires ariégeois ?
“Je vous rappellerai, là, j’ai une réunion de deux heures et après j’ai une visio”, répond pendant lequel un préalable étape Patrick Laffont, juge de Laroque-d’Olmes. Les édiles font compte d’un ostentation du étape chargé. Entre cette embarras et un distinct boulot, les journées sont de mieux en mieux courtes. “Il y a beaucoup de fatigue. Si on se donne une grosse charge de travail, c’est compliqué. C’est sûr que si on ne fait rien, c’est plus facile”, reconnaît Paul Hoyer, suranné juge de Ferrières, disposant démissionné en octobre jeune. “Je dois travailler 17 heures par jour, mais parce que c’est passionnant, c’est un dévouement”, ajoute Patrick Laffont.
Le canton est peuplé de petites communes confrontées à des difficultés particulières. “Les maires des petits villages ont des problèmes de personnel. Dans beaucoup de petites communes, il n’y a ni moyens financiers ni personnel. C’est un sacerdoce”, explique Louis Marette, juge de Mazères et vice-président de l’adjonction des maires d’Ariège.
Selon une sondage publiée le 15 brumaire 2024 par l’Association des maires de France, 39 % des édiles auraient considéré “quelques fois” de capituler au catégorie de à elles mission, alors que 52 % ne l’ont oncques considéré. Le correspondance ajoute équitablement : “Plus la taille de la commune diminue, plus la démission est envisagée.”
“On est sous tutelle de l’État”
Le attachement de complets à elles griefs semble toutefois essence l’Situation et sa gouvernail des communes. “On est sous tutelle de l’État. On avait la taxe professionnelle et d’habitation, il ne nous reste que le foncier sur le bâti et le non-bâti. Les collectivités vivent des dotations de l’État, elles dépendent de ce dernier. Aujourd’hui, on ne sait pas de quoi est fait notre budget : on est à l’aveugle. Les mairies sont en train de s’user”, indique Philippe Calleja, juge de Saverdun. “Il y a 250 000 € par an en moins pour Laroque-d’Olmes. On doit faire toujours plus avec moins”, tinette le Laroquais.
“On nous a laissé toutes les responsabilités, sans les compétences”, regrette Patrick Laffont. Les élus ont châle de à elles prestige de détermination. Couplé à des démarches à amendement et à la accident de l’achat d’aides, le mission perd de son discernement derrière divers. “Les réglementations et obligations se multiplient. On éloigne trop l’échelon de décision. Les communautés de communes empiètent sur les compétences. On essaie de les faire remplacer les communes, mais c’est absurde : on perd de la proximité, la connaissance du terrain et des habitants”, ajoute le Saverdunois.
“Une volonté d’aider les élus”
“L’État est le premier soutien financier des communes en Ariège. La dotation globale de fonctionnement est en hausse de 4 %. Les montants sont globalement maintenus”, rappelle Jean-Philippe Dargent, copiste communautaire de la paroisse de l’Ariège. Des outils ont été mis en occupation derrière embellir les demandes des édiles. Avec l’adjonction des maires de l’Ariège, la paroisse a déformé à la vêtement en occupation de formations, d’accompagnements et de recrutements de secrétaires de hôtel de ville. “Il y a une volonté d’aider les élus pour répondre aux défis du quotidien et maintenir un haut niveau de présence sur le terrain”, souligne Jean-Philippe Dargent.
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