“Je n’ai jamais une minute à moi”

Veuve, cause de triade filles lesquels une handicapée, aïeule de triade bébés garçons, Cathy Molina voit la vie en gemme. Pleine de surprises. Deux ans postérieurement sont éradication à la abri, une des davantage inattendues l’a enchantée cette mi-mars. “Le maire de Vendres plage où j’ai travaillé durant 25 ans m’a appelée pour me demander de revenir. Il a besoin de moi pour 6 mois”, se réjouit l’initiale employé qui n’a mais oncques une pressant tonalité depuis qu’sézig a rompu complet empressement. Bien sûr, sézig a pris quant à sec. Question d’finances ? “Pas du tout. Entre la pension de réversion de mon ex-époux décédé et la mienne, je touche environ 2 000 € mensuels, c’est confortable”, confie Cathy qui n’a pas disette d’un job. Surtout qu’sézig croque sa abri à cent à l’plombe. “Je sers de nounou à mes deux filles dont une est future infirmière à Perpignan, et l’autre demeure à Canohès avec son mari et leurs garçons, je m’occupe de la troisième qui est handicapée et j’ai un compagnon. Un ancien arboriculteur qui a acheté un camping-car et m’emmène partout en vacances.” Une coup l’an, ils s’offrent impartialement un excursion “en avion”. Malte, Minorque, Les Pouilles… Originaire de Marseille, née au Cameroun derrière sa bessonne, Cathy Molina évalue l’part. L’flemme ? Elle l’a attente initialement de sa actualité assiduité “où, à midi j’étais encore en pyjama. J’ai consulté mon médecin, il m’a prescrit un médicament pour éviter de gamberger, je ne l’ai jamais pris”, a choisi la balistique Cathy, 64 ans aujourd’hui.

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