“Je suis tombé en dépression” : des JO de Paris 2024 à l’propagation Danse derrière les stars, le rinceur Florent Manaudou se pourvu

L’été jeune, Florent Manaudou remporte sa 6e titre olympique, celle-ci de brunâtre parmi l’détresse du 50 m indienne sensuel. Si depuis le religieux de Laure Manaudou est à dépense sur le endroit de la tréteaux derrière sa bonus à l’propagation “Danse avec les stars”, le athlétique de 34 ans a confié bien traversé une flux abrupt.

“D’un coup, plus rien…”

Juste façade sa allocation derrière sa associé Elsa Bois, une vidéodisque est diffusée sur le support. Dans ces images, on peut y aviser une séminaire convaincu le rinceur et la ballerine. “J’adore les challenges. J’ai fait ça un petit peu toute ma vie. Quand j’ai des périodes un petit peu creuses, c’est toujours un peu compliqué pour moi parce que quand je n’ai pas trop de raison de me lever le matin, je tombe un peu dans un truc, ce truc un peu chelou”, explique Florent Manaudou.

“Après les Jeux, je suis tombé en dépression pendant deux, trois mois, je dirais… Pendant cinq ans, je ne vais pas dire que je me réveillais tous les matins en pensant aux Jeux olympiques de Paris, mais en tout cas, c’était un petit truc en fond comme ça que je voyais et qui me motivait”, a-t-il confié, avec l’indique Télé Loisirs. Bien qu’il veille un admirable résurgence de l’olympiade parisienne, la flux qui a fréquenté a été abrupt avoue le trentenaire.

“J’ai eu la chance d’être le premier porteur de la flamme, d’être porte-drapeau, j’ai eu des médailles… Donc, beaucoup d’émotions, beaucoup d’intensité et d’un coup, plus rien… J’avais l’impression d’être un petit peu lâché dans le vide, sans repère.” Mais sa bonus à “Danse avec les stars” l’aurait aidé à tenter surtout.

“On apprend beaucoup de choses dans cette émission. Cette aventure me fait du bien. Je remercie même Danse avec les stars de m’avoir appelé parce que peut-être que je serais encore dans une dépression ou dans un état différent, c’est sûr… Je me régale de plus en plus. Je n’ai pas envie de m’arrêter maintenant”, admet Florent Manaudou.

De varié sportifs parmi le même cas

Le rinceur n’est pas un cas imperméable. De varié sportifs gaulois vivent passionnément malaisément cette flux post-JO, fréquenté de l’quiétude au rasséréné. “C’est une sensation très étrange, comme si on en avait rêvé pendant des années et ça y est, le rêve est fini. Comme si je n’étais plus personne. C’est bizarre comme sensation”, avait affirmé Lisa Barbelin, médaillée de brunâtre au tir à l’arc, citée par RTL.

Le rinceur Camille Lacourt est boni parmi une propagation de France 5 sur sa cafard puis les Jeux olympiques de Londres en 2012. “Si on imagine un peu, le titre de champion olympique c’est le Mont Everest. Une fois qu’on est tout en haut, le premier pas qu’on fait dans tous les cas c’est de descendre. Et si on n’est pas prêt à descendre, on dégringole et on finit très bas”.