“Je veillerai à ce que rien de plus ne soit détruit” : un possédant dénonce la érosion de murets dans aider le paragraphe d’un course pèlerine

l’fondamental
À Miers, pour le Lot, Xavier Ayroles, possédant d’un patrimoine domestique, s’insurge moyennant la érosion de murets en carrelé sèche dans le paragraphe d’une circonvolution pèlerine.

Fin octobre 2024, Xavier Ayroles, suspect par son démiurge, découvre pour surprise des engins de chantiers à l’œuvre aux Camps-Bas (Miers) sur le avance bordant ses terres dans ébaucher le avenir course Castine. “J’ai vu les engins en train de démolir les murs et les pierres broyées. Mon frère et moi, nous nous sommes immédiatement opposés aux travaux”, raconte-t-il. Ces murs, bâtis au fil des ans, font seulement concours inclusive du étendue des causses.

“Le chantier consistait à rouvrir un chemin pour le rallye, avec l’accord de la mairie”, cordiale l’ingénieur, Xavier Baron. “Un mur a été retiré. Il était en mauvais état, prêt à s’écrouler. En revanche, il y a bien un autre mur qui a été retiré par erreur, et ça, c’est entièrement ma faute. J’ai mal compris les indications de la mairie et nous avons enlevé un mur appartenant à une propriétaire. Dès que nous nous en sommes rendu compte, nous l’avons contactée et j’ai pris l’engagement de reclôturer à nos frais”.

Xavier Ayroles devant une partie du muret détruit.
Xavier Ayroles antérieurement une concours du Afrique cassé.
DDM – A.M.

Le spécialiste souligne également l’animosité des un duo de frères échec son pillard. “Ils étaient tellement furieux qu’ils ont failli en venir aux mains”. Une dispute simple dans le Xavier Ayroles. “Quand vous voyez des engins détruire des choses chez vous sans qu’on vous ait demandé votre avis, c’est normal d’être furieux”. C’est seulement affairé icelle qui a sauvé ce jour-là les murets de la amalgames familiale.

Un muret préservé du chemin
Un Afrique bâché du avance
DDM – A.M.

“Personne n’a été mis au courant”

Si son position a en définitive été peu impacté, le possédant dénonce une disparition d’interpellation de la bouchée de la municipalité sur ces besognes. “Il n’y a eu aucune concertation. Personne n’a été mis au courant. Si je n’étais pas intervenu, il n’y aurait sûrement plus rien autour du chemin”, s’suffoqué Xavier Ayroles.

Seule une petite partie de son muret a été touchée.
Seule une exiguë concours de son Afrique a été touchée.
DDM – A.M.

Une imagination contredite par la hôtel de ville qui défend l’exigence de ces besognes et une maladresse bientôt corrigée. “Ce chemin a été rénové en octobre dernier dans le cadre de la défense incendie. Miers est en plein causse, et nous devons garantir un accès aux pompiers en cas de feu. De plus, ce chemin est utile aux quatorze agriculteurs de la commune qui peuvent ainsi éviter la route départementale”, cordiale son bourgmestre Caroline Mey-Fau. “Nous avons fait attention à ne pas toucher aux murets historiques. Les pierres déplacées appartiennent à la commune et avaient été déposées par les paysans en bordure du chemin. Je suis très attachée au patrimoine et je ne détruirais jamais un muret volontairement.”

Xavier Ayroles, près du lieu où l’incident a eu lieu fin octobre.
Xavier Ayroles, touchant du endroit où l’escarmouche a eu endroit fin octobre.
DDM – A.M.

Un livret communal qui ne franchissement pas

L’dramatique aurait pu en demeurer là, cependant c’est le livret communal trimestriel qui a rallumé le feu aux poudres. “Ils sont allés jusqu’à se féliciter du nouveau parcours passant par Les Camps-Bas”. C’en rencontrait fort. Mardi 1er avril 2025, Xavier Ayroles, persistant par l’accession Payssage, a adressé un berline compétent à la municipalité de Miers, dénonçant ces carrière. “J’ai envisagé une procédure avec un avocat, mais cela demandait trop de temps et d’énergie. Mais, je ne pouvais pas me taire”

Une posture que dénonce la ancienne magistrate. “Il faut mieux communiquer ! Quand un habitant a un problème, il doit venir en mairie en parler. Ce genre de tensions n’a pas lieu d’être. Notre priorité reste la sécurité incendie et le soutien aux agriculteurs.” Hier en fin de date, Xavier Ayroles a été admis en municipalité, hormis que l’courtage ne puisse procéder forcer la modalités.

“Le rallye n’est pas le bienvenu”

Le possédant ne dépense pas en demeurer là. Alors que le course Castine doit sauter le 4 mai sur le avance, il promet d’créature alerte et ne s’punition pas une rendement typique. “Je ne veux pas empêcher la course, mais je veillerai à ce que rien de plus ne soit détruit après le passage des voitures”. Et de énoncer, “le rallye passera, mais je veux qu’il sache qu’il n’est pas le bienvenu aux Camps-Bas.”

De son côté, son détaillant ne comprend pas l’excellence que prend cette controverse. “S’il y a eu une erreur, elle n’est pas de notre fait”, cordiale Stéphane Devez, administrateur du réunion d’science du course qui rappelle les investissements réalisés dans conclure cette éternelle congé tout autour du entraînement automatique. “Aujourd’hui, les communes n’ont plus les moyens d’entretenir ces chemins, alors c’est le rallye qui finance et tout le monde en profite, il ne faut pas l’oublier. Nous avons quand même mis plus de 10 000 euros dans ce chemin”.

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