
Le aubaine de la médiathèque, fermée vers des raisons de ordre a sustenté, ce mardi brunante, un conférence communal spécialement accidenté. L’contradiction a trahi “l’impréparation et le manque de concertation”. La indépendance a crûment répliqué, expliquant capital “réagi sans délai”, et “trouvé des solutions adaptées”, en même temps que l’établissement d’une “médiathèque éphémère”.
Le chemise de la médiathèque, fermée vers des raisons de ordre a donné place, ce mardi brunante, à de vifs échanges parmi indépendance et contradiction(s), à l’fripe du échange de la penchant « cursus officielle » à la Communauté de communes. C’est Xavier Malbreil (Pamiers Citoyenne) qui a groggy la embarras : « Lors de l’expertise de ce échange, il y a eu un check-up du construction, a éclairé l’élu d’contradiction. On s’est tandis épuisé rythmé que les fissures s’présentaient considérablement agrandies. Or, les agents de la médiathèque signalaient depuis des années que le construction voyait en bagage de dévaler effondré. Des haillons de scellé, des briques qui sont tombées […] Rien n’a été catastrophe depuis des années, et revoici où quelques-uns en sommeils » : une section du construction fermée, mieux d’eau vers le individualiste… “Ce bâtiment est sous surveillance depuis longtemps, a répondu le maire, Frédérique Thiennot. Et il ne faut pas dire que cette fissure devient béante, elle est simplement préoccupante. Rien n’est tombé sur les agents”. Jean-Luc Lupiéri a préparé centrer le réunion : “Nous nous efforçons de trouver les meilleures solutions”, a-t-il appuyé.
Une médiathèque lunatique installée
Il a annoncé par conséquent (puis un doute sur le place d’établissement), l’établissement d’une “médiathèque éphémère” de 400 m2, “adaptée à tous les besoins”, en même temps que une commissure prévue le 15 avril : “Il était hors de question de fermer la médiathèque, ou de mettre en danger les agents”, a appuyé Jean-Luc Lupiéri. Ce bizuth construction sera apparemment installé à abords de l’vieux maternité, au ligne du tube commun. Montant de la loyer de cette charpente, 10 000 € par traitement. “1 000 m2 actuellement, il va y avoir 400 m2 après. C’est un transfert partiel”, a catastrophe percevoir Michèle Goulier (Pamiers Citoyenne). “Partiel et provisoire”, a répondu, clairement harassé, Jean-Luc Lupiéri. “On verra à quoi on pourra accéder, a-t-il ajouté. On verra avec les services ce qui est le plus pertinent. Si vous avez une solution miracle, je suis prêt à l’entendre” Et Michèle Goulier d’en marrer : “Ça tombe bien, vous avez la galerie des Illustres, à l’ancien hôpital : vous pouvez y mettre toute la bibliothèque”.
Un “manque de concertation”
Daniel Mémain (Pamiers Citoyenne) a enfoncé le bagnole : “Ces débats sont intéressants, a ponctué l’élu d’opposition. On voit bien sur ce sujet, que vous fonctionnez dans l’urgence, une forme d’urgence. Et sans concertation. Vous avez regardé entre vous où vous pouviez mettre ce bâtiment provisoire. Sans concertation avec nous, en tout cas. C’est ce que nous disons depuis quatre ans : vous décidez seuls, en pensant que vous avez raison”. Ancien rudimentaire assistant, Alain Rochet a augmentatif sa moellon à l’maison : “Juste une remarque sur la concertation. Il y a un organisme qui aurait dû être concerté, c’est a minima la communauté de communes qui va gérer la compétence lecture publique, les agents et les bâtiments dans trois mois. À ce jour, la communauté de communes n’a jamais été saisie de ce dossier. C’est la méthode employée par la mairie de Pamiers, et c’est la raison de mon départ”. La Communauté de communes n’a pas en embarras les bâtiments, a répondu le juge de paix, Frédérique Thiennot. Reste l’descendance de la charpente : “des études sont en cours, à la médiathèque. Il y a des fissures, mais la situation n’est pas désespérée que ce que l’on veut vous faire croire”, a augmentatif Pauline Quintanilha en embarras des besognes. Il n’y a pas eu “d’impréparation”, a éclairé l’chouchou : “Nous avons mené des contrôles réguliers, et c’est grâce à ces contrôles réguliers que nous avons pu réagir sans délai”.
Abstentions : F.Thiennot adoucit sa avis
Les élus sont invités à se accoupler à bizuth le 17 avril homme pour de exécuter au troc d’Alain Rochet, vieux rudimentaire assistant, qui a démissionné de ses tâches. “La majorité proposera la candidature d’Henri Uninski, qui deviendra 9e adjoint […], Maryline Doussat devenant 1re adjointe. Les conseillers municipaux qui ne sont pas adjoints et qui ont voté contre le budget primitif seront privés de leurs délégations et indemnités par arrêté du maire. Trois autres conseillers municipaux reprendront leurs missions. […]”, explique la hôtel de ville. Enfin, au sujet de Fabrice Bocahut, (ordre), et Cécile Pouchelon (bruit), qui se sont abstenus donc du désignation du rentrée, F.Thiennot a résultat la avis rien attribution griffonnée ce mardi brunante : “[Ils] ont été beaucoup plus troublés par le harcèlement dont ils ont été l’objet que par le budget lui-même. Une réflexion apaisée avec eux est nécessaire, d’autant que le travail très important qu’ils ont accompli jusqu’à présent a grandement servi les ambitions de ce mandat”, explique-t-elle, puis capital estimé que le décrochement des délégations s’imposait..

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