
Le auteur départemental du Parti communiste hexagonal du Lot, Jean-Christophe Vialaret a déposé éreintement quant à Thierry Grossemy, figue locale de La France Insoumise, vers des insultes publiques sur Facebook.
Le 24 germinal 2025, Jean-Christophe Vialaret, auteur communautaire du Parti communiste hexagonal (PCF) parmi le Lot, a porté éreintement à la police de Lalbenque. En motif : une libelle jugée médisant émanant de Thierry Grossemy, tournure départementale de La France espiègle (LFI). L’partie du polémique ? Des allocution virulents postés sur Facebook.
Publié peu face à d’convenir étouffé, le commission incriminé affirmait : “hier je me suis fait traiter d’antisémite par des communistes Lotois ! avec l’accord de leur secrétaire départemental ! que ces salopards reprennent les thèmes de l’extrême droite montre bien qu’ils sont plus près de Doriot que de Thorez et Duclos !”
Jean-Christophe Vialaret conteste spirituellement ces accusations. “Je n’ai jamais donné d’accord pour insulter Thierry Grossemy. À ma connaissance, il n’a pas été traité d’antisémite.” Il explicite comme que les allocution tenus — surtout l’imprécation “salopards” et la digestion pile Jacques Doriot, additionnel éprouvé du vitesse nazi — sont “la pire insulte pour un communiste”.
Malgré le ploiement possible du commission, la libelle est restée notable différents heures et a été capturée par Jean-Christophe Vialaret, qui l’a répercutée aux autorités parmi le boîte de sa éreintement. Du côté de Thierry Grossemy, cette agence n’en est pas une. “Je ne ferai pas de commentaire”.
Une griffure assumée
À eux seules, ces tensions illustrent la griffure progressive au mamelon de la balourde lotoise, à moins d’un an des élections municipales et sur lointain de désaccords stratégiques et idéologiques.
“Ce n’est plus possible de discuter avec lui sur le département”, a estimé le auteur du PCF. Et d’allonger : “Ce n’est pas en utilisant les méthodes de l’extrême droite que l’on fera progresser la gauche.”
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